Grèce, Portugal, Espagne...Euro, $, FMI, DSK, ...Des voleurs unis pour nous voler encore plus.
On trouve les milliards pour "socialiser" les pertes.
Ils ont pris des risques, ils encaissent les profits, mais nous devons tous payer leurs pertes, sauf eux...
Face, nous perdons, pile, ils gagnent. Ils gagnent à chaque coup.
Les banques et leurs esclaves trichent depuis des années, trop, c'est trop...STOP !
Leurs statistiques sont des mensonges, leurs chiffres sont des mensonges, leurs paroles puent, et leurs raisonnements faux et truqués tuent par millions les plus faibles qui meurent de faim au milieu de l'abondance jetée à la mer pour des raisons faussées, cupides et débiles.
Nous devrions tous faire encore plus de sacrifices et eux, ils ont toujours plus de bonus, primes, salaires, options, avantages, frais généraux, tuyaux et parachutes dorés...
Ils veulent nous faire payer les dettes grecques car sinon ils perdraient un peu de leurs paris insensés...ils ont pris les risques mais ils veulent nous les faire payer à nous. Ce sont des monstres juridiques qui corrompent tout ce qu'ils touchent.
Ces gens arrivent a faire des émissions TV de 2 ou 3 heures sur la "crise/krach mondiale" sans citer une seule fois l'art 104 de Maastricht, là dessus, on doit dire, NOS RESPECTS, C'est très très fort. ...
Article 104 de Maastricht :
Il est interdit à la BCE et aux banques centrales des États membres, ci-après dénommées "banques centrales nationales", d'accorder des découverts ou tout autre type de crédit aux institutions ou organes de la Communauté, aux administrations centrales, aux autorités régionales ou locales, aux autres autorités publiques, aux autres organismes ou entreprises publics des États membres; l'acquisition directe, auprès d'eux, par la BCE ou les banques centrales nationales, des instruments de leur dette est également interdite.
On ne peut plus depuis 1992 imprimer notre monnaie gratuitement mais on est obligés de se les faire prêter par des banksters privées avec un taux d'usure exorbitant....C'est pas une blague, c'est de la prostitution grâce à R. Dumas et Pierre BEREGOVOY qui ont signé ce traité infâme et scélérat.
Pourquoi personne ne parle des Banksters criminels qui poussent au CRÉDIT à tout prix.
Pourquoi personne ne parle de la responsabilité de David Rockefeller et ses différents groupes occultes dont font partie DSK, Devedjian, Kouchner...etc et qui magouillent derrière notre dos !!!!
Les seuls coupables sont les Banksters mondialistes, retirez votre argent de chez ces voyous pauvres malheureux avant que cela ne soit trop tard...
Tout est orchestré par les banksters. Savez-vous que la FED US n'est pas étatique mais privée ! C'est le plus grand casse de tout les temps !
Leurs consciences sont achetées à coup de millions...
Regardez cette vidéo d'Aaron Russo : http://www.dailymotion.com/relevan [...]
Voir aussi son film America from freedom to fascism : Extraordinaire film dans lequel ... est dit.
Comme l'a très justement dit un autre internaute, dans le bon vieux temps, les impôts servaient à financer les infrastructures publiques, et les sommes demandées aux contribuables étaient tout à fait supportables.
Il n'y avait, en outre, pas de taxes ci, taxes ça, ordures, épuration, égouts, sacs poubelles, etc. etc, vignettes, taxe co2, taxe à la valeur ajoutée, etc etc etc. amendes fiscales, amendes vexatoires, amendes pour un rien...
Le mondialisme c'est aussi cela, appauvrir, par n'importe quel moyen, la classe moyenne, afin de la supprimer. Comme ça il ne restera plus que les petits et les nomenklaturistes!
Nous sommes déjà devenus leurs esclaves, insidieusement! Il n'ont plus qu'à proclamer leur roi !
Quand les peuples vont-ils se réveiller ! Avant de ne disparaître complétement !
La marmite peut exploser et çà va faire mal...
Le peuple suisse est le souverain.
Un Souverain ne paie pas d'impôts (sic).
Et c'est possible, au lieu de donner nos milliards aux tricheurs.
Voir plus bas comment le faire, grâce au progrès technique et aux robots.
Démographie : la chute a commencé
Courbe sans tenir compte d'une pandémie.par simple application mathématique des taux de fertilité ( TR, Taux de Renouvelllement en dessous de 2 ) qui sont à la baisse.
The tax poem...TEA, Tax enough already
Le peuple suisse est le souverain. Un Souverain ne paie pas d'impôts. http://ferraye.blogspot.com/2009/10/le-vol-des-proprietes-intellectuelles.html Le courage de taxer les robotsLes robots libérateurs !
Sous le Signe de l'Abondance Ce volume de 312 pages présente une conception nouvelle de la finance, du système d'argent, qui libérerait définitivement la société des problèmes purement financiers. L'auteur, Louis Even, y expose les grandes lignes des propositions du Crédit Social, conçues par l'ingénieur écossais Clifford Hugh Douglas.Télécharger le livre en format PDF (2,4 MB) Table des matièresPréface de l'auteurCe livre parle du Crédit Social, mais il est loin d'être une somme créditiste. Le Crédit Social, en effet, est toute une orientation de la civilisation et touche au social et au politique autant, sinon plus, qu'à l'économique. Nous croyons même, avec Douglas — à qui le monde doit cette lumineuse doctrine — qu'un redressement économique, dans le sens du Crédit Social, est impossible sans un redressement préalable d'ordre politique. Dans ce volume, cependant, sauf quelques réflexions incidentes aux répercussions sur la politique d'un système financier détraqué et dominateur, nous avons borné notre étude aux objectifs économiques et aux propositions monétaires du Crédit Social.
Le titre du livre — Sous le signe de l'abondance — exprime assez bien qu'il s'agit d'une économie d'abondance, de l'accès rendu facile aux immenses possibilités de la production moderne. L'économie ancienne pouvait être «sous le signe de l'or» ou de quelque autre objet rare lorsque la production elle-même faisait souvent défaut. Mais c'est méconnaître le progrès et outrager la logique que vouloir conserver un instrument lié à la rareté pour conférer des titres à une production motorisé. Dans la première partie de ce volume, on rappelle des notions essentielles et très simples, que tout le monde admet sans peine, mais qui sont presque totalement ignorées dans l'organisme économique actuel. Les fins ne commandent plus les moyens. Une brève étude du système monétaire démontre que l'argent régit là où il devrait servir. On présente comme remède les propositions du Crédit Social, dont on expose les grandes lignes, sans entrer dans les méthodes d'application. Le problème, croyons-nous, n'est pas tant de développer une technique de fonctionnement que de faire accepter des propositions qui semblent à la fois trop simples et trop audacieuses aux esprits habitués à perdre de vue les fins et à s'enliser dans la complexité des moyens. Aussi, nombre de chapitres se présentent-ils surtout comme un plaidoyer de justification de la doctrine créditiste. La deuxième partie reproduit, sans enchaînement nécessaire entre eux, certains discours et articles de nature à jeter de la lumière sur divers aspects du Crédit Social. Outre les production de l'auteur lui-même, on trouvera dans cette partie quelques contributions de Maître J.-Ernest Grégoire, avocat, de Mlle Gilberte Côté (depuis Mme Gilberte Côté-Mercier) et de M. Edmond Major. En offrant ce libre au public, nous avons surtout en vue le lecteur moyen. Mëme en traitant de sujets spécifiques, nous évitons autant que possible les termes techniques, plus aptes à fatiguer qu'à éclairer. Nous avons visé à écrire de façon à être facilement compris par le grand nombre: c'est d'ailleurs dans l'esprit d'une économie d'abondance au service de tous et de chacun. LOUIS EVEN La cinquième édition de juin 2008 porte à 28 000 le nombre total d'exemplaires tirés du livre «Sous le Signe de l'Abondance». Dans la quatrième édition de 1988, les chiffres ont été adaptés pour 1988, et quelques articles de Louis Even et d'autres auteurs ont été ajouté dans la deuxième partie, portant sur divers aspects du Crédit Social, ainsi que des appendices et une brève biographie de Louis Even. Une édition en langue anglaise, avec davantage de chapitres (une quinzaine de plus que l'édition en français de 1988), est parue en 1996. C'est l'équivalent de cette version que l'on trouve dans l'édition de 2008 en langue française, qui est aussi en ligne sur ce site.
Nos lecteurs réguliers savent que chaque numéro de ce journal contient des articles sur les propositions financières du Crédit Social, qui sont plus d'actualité que jamais pour résoudre les problèmes économiques actuels. Cette idée du Crédit Social peut susciter de nombreuses questions parmi nos nouveaux lecteurs, et un seul article n'est certainement pas suffisant pour répondre à toutes ces questions, ou pour donner une bonne compréhension de tout le concept du Crédit Social. De plus, la plus part des gens n'ont tout simplement pas le temps de lire de longs livres sur le sujet. Alors, voici la solution: les propositions du Crédit Social expliquées en 10 leçons, chacune étant la suite logique de la précédente. La première leçon débute avec les principes, et de là, on bâtit les fondations pour avoir une pleine connaissance de tout ce que le Crédit Social implique. Voici la liste des 10 leçons: Leçon 1: Le but de l'économie: faire les biens joindre ceux qui en ont besoin; Leçon 2: La pauvreté en face de l'abondance, la naissance de l'argent; Leçon 3: Les banques créent l'argent sous forme de dette; Leçon 4: La solution: un argent sans dette créé par la société; The Tax Poem At first I thought this was funny...then I realized the awful truth of it. Be sure to read all the way to the end!
Tax his land,
What in the hell happened? Can you spell 'politicians?'
And I still have to 'press 1' for English!?!?!?!?
I hope this goes around the world at least 100 times!!!!! YOU can help it get there!!!! GO AHEAD - - - be an human !!!!!!!!!! SEND IT AROUND EVERYWHERE for a change! |
http://ferraye.blogspot.com/2008/09/le-monde-clearstream-ferraye-dsk-et.html
http://veritasincaritate.blogspot.com/2009/09/clearstream-au-moins-55-milliards-de.html
http://desiebenthal.blogspot.com/2009/09/les-taxes-de-trop.html
http://desiebenthal.blogspot.com/2009/08/les-memes-escrocs-sont-notamment.html
http://desiebenthal.blogspot.com/2008/11/secret-bancaire-sous-pression-dans-le.html
http://www.pavie.ch/guestbk.php?lng=en
http://en.wikipedia.org/wiki/Principality_of_Hutt_River
http://desiebenthal.blogspot.com/2009/03/north-dakotas-banking-system-role-model.html
Complots pour détruire la Suisse ? La "création" monétaire du néant tue.
Citation d'un journaliste...
Le travail du journaliste consiste à détruire la vérité, à mentir sans réserve, à pervertir, à avilir, à ramper aux pieds de Mammon et à vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien.
Vous le savez tout autant que moi, alors qui peut parler de presse indépendante ?
Nous sommes les pantins et les vassaux des hommes riches qui se cachent derrière la scène ..... Ils tirent les ficelles ... ET NOUS DANSONS.
John Swinton du New York Times, dans un discours à ses collègues journalistes.
http://veritasincaritate.blogspot.com/2009/07/complot-contre-la-suisse-l-irs-est-une.html
"Secrets d'argent, intérêts et inflation"
du Laboratoire Européen d'Anticipation Politique, disponible sur
europe2020.org/spip.php?article499〈=fr
On y lit "Les banques commerciales créent continuellement de l'argent pour des prêts. Elles créent cet argent tout simplement par l'inscription de chiffres dans les comptes bancaires des emprunteurs, qui peuvent ensuite dépenser ces montants, comme si c'étaient des billets de banque. Aujourd'hui la grande majorité de l'argent existe seulement sous forme de nombres dans des comptes bancaires. Par la loi, ces nombres ont la même valeur que des billets de banque et des pièces de monnaie."
Solutions pour résoudre le problème des banques dont la faillite serait catastrophique pour l'économie (UBS, Credit Suisse)...voir www.pavie.ch
1) L'intérêt comme la Dette est fictive, l'État a décidé d'emprunter auprès de banques privées l'argent dont il a besoin, alors qu'il pourrait émettre autant d'argent qu'il veut sans intérêt, Mais surtout l'état (c'est à dire les banquiers, puisque la main qui donne est au dessus de la main qui reçoit) va renflouer les banques privées quand elles vont mal. (mais refuse catégoriquement d'aider qui que ce soit d'autres, qu'eux mêmes, pour quelqu'un d'autre, la réponse est NON sous prétexte de libre concurrence). Si vous ne voyez pas le conflit "d'intérêt" (encore un vilain jeu de mots) je ne peux plus rien pour vous. L'ÉTAT n'a PAS à payer d'intérêt sur l'argent qu'il est censé émettre LUI MÊME.
Si vous aviez la création monétaire, auriez vous des dettes ?
Et puisqu'on va injecter des milliards crées à partir de rien, pourquoi ne pas injecter ces mêmes milliards pour combler la dette ? (la réponse c'est que tout ceci n'est rien d'autre qu'UNE ARNAQUE, sans doute la plus grande de toute l'histoire connue de l'humanité, ils veulent que nous payons l'intérêt sur ces milliards)
...
Si les banques abusent, c'est parce que les BANQUIERS ont tout acheté ! Grâce à la création monétaire que LE GOUVERNEMENT (publique) a donner (abandonner) a des banques privées ! LES BANKSTERS nous dirigent, acceptez le ou refusez le, mais vous devez le savoir !
Ces gens arrivent a faire des émissions TV de 2 ou 3 heures sur la "crise/krach mondiale" sans citer une seule fois l'art 104 de Maastricht, là dessus, on doit dire, NOS RESPECTS, C'est très très fort.
Le système bancaire moderne fabrique de l'argent à partir de rien. Ce processus est peut-être le tour de dextérité le plus étonnant qui fut jamais inventé. La banque fut conçue dans l'iniquité et est née dans le pêché. Les banquiers possèdent la Terre. Prenez la leur, mais laissez-leur le pouvoir de créer l'argent et en un tour de mains ils créeront assez d'argent pour la racheter. Otez-leur ce pouvoir, et toutes les grandes fortunes disparaîtront et ce serait bénéfique car nous aurions alors un monde meilleur et plus heureux. Mais si vous voulez continuer à être les esclaves des banques et à payer le prix de votre propre esclavage laissez donc les banquiers continuer à créer l'argent et à contrôler les crédits.
...
Il a fallu 300 pages d'échanges à Etienne Chouard et les autres pour convaincre Paul Jorion (Ancien banquier) alors je pense que vous y arriverez avec du temps. En attendant s'il vous plaît faites vos commentaires dans votre post initial.
etienne.chouard.free.fr/Europe/messages_recus/Blog_de_Paul_Jorion_Monnaie.pdf
http://veritasincaritate.blogspot.com/2009/07/complot-contre-la-suisse-l-irs-est-une.html
...
RÉFÉRENCES OFFICIELLES SUR LA CRÉATION MONÉTAIRE
L'ÉCONOMIE ET LES SCIENCES SOCIALES de A à Z → Jean-Yves CAPUL (HATIER)
p. 75,76
BAC STT ÉCONOMIE DROIT → Elsa ILLOUZ & Ghislaine LEGRAIN (Top'Exam, HACHETTE Éducation)
p. 53,54
LA MONNAIE ET SES FONCTIONS → Pierre BERGER & André ICARD (Que sais-je? n° 1217,P.U.F.)
p. 11, 19, 20, 21, 26
LA BANQUE ET SES FONCTIONS → Bruno MOSCHETTO & Jean ROUSSILLON (Que sais-je? n° 2447, P.U.F.)
p. 66
PAS D'ÉCONOMIE SANS MONNAIE → Guénaelle LE SOLLEU (Optiques Economie n° 34, HATIER)
p. 29
DICTIONNAIRE D'ÉCONOMIE ET DE SCIENCES SOCIALES → Jean-Yves CAPUL & Olivier GARNIER (Initial, HATIER)
p. 269, 270
INITIATION A L'ÉCONOMIE → Janine BRÉMOND & Marie-Martine SALORT (J. BRÉMOND, HATIER)
p.102, 183
MONNAIE MONNAIES → Michèle GIACOBBI & Anne-Marie GRONIER (Le Monde Poche, MARABOUT)
p. 58, 59, 60, 66
INTRODUCTION À L'ÉCONOMIE → Jacques GÉNÉREUX (Points Economie, SEUIL)
p. 87, 88, 89
MONNAIE ET PROBLÈMES FINANCIERS → Michel DÉVOLUY (Les Fondamentaux n° 21, HACHETTE)
p. 52, 53
MONNAIE, THÉORIES ET POLITIQUES → Marc BASSONI & Alain BEITONE -Synthèse +, SIREY/DALLOZ)
p. 34, 35, 37, 38, 41, 42
ENCYCLOPAEDIA UNIVERSALIS → Vol. 5 (Cortès-Elasticité) : Crédit
p. 71 (2 : "Le rôle du crédit")
MONNAIE, CRÉDIT, VALEURS MOBILIÈRES → BANQUES DE FRANCE, service de l'information, BP 140-01, PARIS Cédex 01
p. 51, 55, 56, 57
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La monnaie ? Enjeux d'un débat La monnaie ? Enjeux d'un débat Que faut-il pour financer les RETRAITES ? Par François Thonier Se libérer de la monnaie privée ! Que faut-il pour financer les RETRAITES ? Par François Thonier Se libérer de la monnaie privée ! Comment pousse la monnaie ? Attac Bouches du Rhône Comment pousse la monnaie ? Attac Bouches du Rhône Fausse monnaie, vrais banquiers par Alain VIDAL Fausse monnaie, vrais banquiers par Alain VIDAL "La crise mondiale aujourd'hui", Maurice Allais, "La crise mondiale aujourd'hui", Maurice Allais, La monnaie, une création ex-nihilo par les banques lorsquelles accordent un crédi,t est une monnaie qui nait de rien, mais qui dans les faits n'est pas rien. Son impact marque profondément notre vie. Plusieurs courants de pensée ont analysé ce problèmes. En voici un, l'approche distributive : "La monnaie distributive"par Marie Louise Duboin Distributisme Distributisme Le crédit social Janpier Dutrieux site <eco.yhad.org> Le crédit social Janpier Dutrieux site <eco.yhad.org> La création monétaire La création monétaire Comment pousse la monnaie ? Comment pousse la monnaie ? La monnaie ? La création de monnaie ? Quelques ressources documentaires La monnaie ? La création de monnaie ? Quelques ressources documentaires L'hypothèse distributiste La gratuité à tous les étages Jean-Paul Lambert L'hypothèse distributiste La gratuité à tous les étages Jean-Paul Lambert LES FAUX MONNAYEURS ! LES FAUX MONNAYEURS ! Croissance, gratuité, abondance par Bernard Maris | |
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Quelques précisions sont apportées ici :
LES JOURNAPUTES
À propos d'une citation de John Swinton,
ancien rédacteur en chef du New York Times,
lors d'un banquet, le 25 septembre 1880.
...
À New York, lors d'un banquet, le 25 septembre 1880, le célèbre journaliste John Swinton se fâche quand on propose de boire un toast à la liberté de la presse :
« Il n'existe pas, à ce jour, en Amérique, de presse libre et indépendante. Vous le savez aussi bien que moi. Pas un seul parmi vous n'ose écrire ses opinions honnêtes et vous savez très bien que si vous le faites, elles ne seront pas publiées. On me paye un salaire pour que je ne publie pas mes opinions et nous savons tous que si nous nous aventurions à le faire, nous nous retrouverions à la rue illico. Le travail du journaliste est la destruction de la vérité, le mensonge patent, la perversion des faits et la manipulation de l'opinion au service des Puissances de l'Argent. Nous sommes les outils obéissants des Puissants et des Riches qui tirent les ficelles dans les coulisses. Nos talents, nos facultés et nos vies appartiennent à ces hommes. Nous sommes des prostituées de l'intellect. Tout cela, vous le savez aussi bien que moi ! »
(Cité dans : Labor's Untold Story, de Richard O. Boyer and Herbert M. Morais, NY, 1955/1979.)
http://www.constitution.org/pub/swinton_press.htm
John Swinton on the independence of the press
Variations on the quote below have been misattributed as a response to a toast, by John Swinton, as "the former Chief of Staff at the New York Times", before the New York Press Club in 1953. However, research reveals that Swinton (1829-1901), after moving to New York, wrote an occasional article for the New York Times and was hired on a regular basis in 1860 as head of the editorial staff. Afterward holding this position throughout the Civil War, he left the paper in 1870 and became active in the labor struggles of the day. He later served eight years in the same position on the New York Sun and later published a weekly labor sheet, John Swinton's Paper.
The remarks were apparently made by Swinton, then the preeminent New York journalist, probably one night in 1880. Swinton was the guest of honour at a banquet given him by the leaders of his craft. Someone who knew neither the press nor Swinton offered a toast to the independent press. Swinton outraged his colleagues by replying :
There is no such thing, at this date of the world's history, in America, as an independent press. You know it and I know it.
There is not one of you who dares to write your honest opinions, and if you did, you know beforehand that it would never appear in print. I am paid weekly for keeping my honest opinion out of the paper I am connected with. Others of you are paid similar salaries for similar things, and any of you who would be so foolish as to write honest opinions would be out on the streets looking for another job. If I allowed my honest opinions to appear in one issue of my paper, before twenty-four hours my occupation would be gone.
The business of the journalists is to destroy the truth, to lie outright, to pervert, to vilify, to fawn at the feet of mammon, and to sell his country and his race for his daily bread. You know it and I know it, and what folly is this toasting an independent press?
We are the tools and vassals of rich men behind the scenes. We are the jumping jacks, they pull the strings and we dance. Our talents, our possibilities and our lives are all the property of other men. We are intellectual prostitutes.
(Source : Labor's Untold Story, by Richard O. Boyer and Herbert M. Morais, published by United Electrical, Radio & Machine Workers of America, NY, 1955/1979.)
Despite the misattribution, the quote raises the issue of whether there is not continuing truth in Swinton's remarks, and whether some candid journalist might not be able to fairly say similar things today. Anyone who has associated closely with journalists can hardly avoid finding a ring of truth in such words, and the best evidence lies in the actual product of journalists and how well, or how poorly, it both agrees with and covers what actually happens, especially involving such things as corruption and abuse of power.
For more on the misattribution, see John Swinton - Yes, He Said It, But... :
http://www.rense.com/general20/yes.htm
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