Trop de taxes, qui en profite vraiment ?
Les gouvernements ont par exemple emprunté du nèant ( ex nihilo...) des milliards $ à un taux réel de plus de 1043% ( sic...plus de mille pour-cent ), voir les démonstrations ci-dessous...Les intérêts nets ont augmenté dans une proportion par exemple de 1 à 259,5 (sic) aux USA.
Si de nombreux économistes ont écrit au sujet de la « poussée des salaires », la « poussée atroce et meurtrière des intérêts et des impôts » n'est jamais mentionnée dans les manuels d'économie...ni dans les catéchismes...sauf ceux des musulmans...ni dans les mass-media.
Entre 1946 et 1990, par exemple aux Etats-Unis, les revenus d'intérêts sont passés de 3,6 à 14,7% du revenu des particuliers; le PNB réel s'est accru dans une proportion de 1 à 3,8 alors que le PNB monétaire a augmenté selon un rapport de 1 à 25,7, si bien que l'indice de déflation du PNB a grimpé dans une proportion de 1 à 6,8; les salaires se sont élevés dans une proportion de 1 à 27,1; toutefois, les recettes publiques ont augmenté selon un rapport de 1 à 33,9 et les intérêts nets dans une proportion de 1 à 259,5 (sic).
Dans son rapport de novembre 1993, le vérificateur général du Canada disait que sur la dette nette de 423 milliards $ accumulée par le gouvernement canadien de 1867 à 1992, seulement 37 milliards $ avaient été dépensés pour des biens et services, alors que le reste (386 milliards $, ou 91% de la dette) consistait en frais d'intérêt, ce qu'il a coûté au gouvernement pour emprunter ce 37 milliards $ (c'est comme si le gouvernement avait emprunté ce 37 milliards $ à un taux de 1043%!). En novembre 1995, une étude du Mouvement Desjardins arrivait à la même conclusion: sur la dette fédérale de 543 milliards $ en date du 31 mars 1995, 487 milliards $ (ou 90%) sont le résultat d'intérêts composés. En d'autres mots, le capital dépensé pour des biens et services a déjà été remboursé plus de dix fois!
Tout cela pour démontrer que tout intérêt demandé sur de l'argent créé, même à un taux de 1%, est de l'usure, un vol, une injustice.
La dette des Etats-Unis suit la même courbe que celle du Canada, mais avec des nombres dix fois plus gros:
Comme c'était le cas pour le Canada, les premières hausses significatives de la dette publique des Etats-Unis ont eu lieu durant les périodes de guerre: Guerre Civile américain (1861-65), Première et Deuxième Guerres mondiales. De 1975 à 1986, la dette est passée de 533 milliards $ à 2073 milliards $. En 2004, cette dette atteint les 7000 milliards $. Pour la même période, 1975-1986, la dette du Canada a donc augmenté plus rapidement que celle des Etats-Unis (9,3 fois pour le Canada, contre 3,8 fois pour les Etats-Unis). L'explication: les taux d'intérêts étaient plus hauts au Canada durant la même période.
Qu'est-ce qu'un milliard?
Quand nous parlons de millions et de milliards, nous parlons de très grosses sommes, qui sont peut-être difficiles à se représenter: Il y a un milliard de secondes, la première bombe atomique n'avait pas encore fait explosion. Il y a un milliard de minutes, le Christ était encore sur la terre. Et pour dépenser un milliard de dollars, un client devrait dépenser 100 $ à la minute pendant 19 ans.
Mais quand nous parlons de la dette des Etats-Unis, ce n'est pas de milliards qu'il faut parler, mais de milliers de milliards, ou trillions (1 suivi de 12 zéros). En 1986, la dette des Etats-Unis était de 2 trillions $. 2 trillions de billets de 1 $ placés bout à bout feraient 186 millions de milles de long (300 millions de kilomètres), soit de la terre au soleil aller-retour. Si une personne avait à dépenser 2 trillions $ à un taux de 1900 $ à la minute, cela lui prendrait 2000 ans. En 1981, lorsque la dette des Etats-Unis atteignit le cap du premier trillion de dollars, le Président Reagan illustra ce chiffre par cette comparaison: «Si vous aviez dans votre main une pile de billets de 1000 $ de seulement 4 pouces (10 cm) de hauteur, vous seriez millionnaire. Un trillion de dollars représente une pile de billets de 1000 $ de 67 milles (107 kilomètres) de hauteur.»
La pointe de l'iceberg
Si les dettes des gouvernements représentent des sommes énormes, elles ne représentent que la pointe de l'iceberg: en plus des dettes publiques, il existe aussi les dettes privées (individus et compagnies)! Ainsi, en 1994, la dette totale du Canada était de 2800 milliards $, avec moins de 600 milliards $ d'argent en circulation. Et et 1992, aux Etats-Unis, la dette publique était de 4000 milliards $ (4 trillions $), et la dette totale, 16 trillions $, avec seulement 950 milliards $ d'argent en circulation.
Le service de la dette
En 1996, le gouvernement canadien a dépensé 49 milliards $ pour payer l'intérêt sur la dette, soit environ un tiers des revenus du gouvernement. Pour financer cette dette, le gouvernement émet des obligations, dont la très grande partie est achetée par les banques et autres institutions financières.
Concernant la vente de ces obligations aux banques, le gouvernement est un vendeur imbécile: il ne vend pas ses obligations aux banques, il en fait cadeau, puisque ces obligations ne coûtent absolument rien aux banques, car elles créent l'argent pour les acheter. Non seulement les banques obtiennent ces obligations pour rien, mais elles en retirent de l'intérêt (payé par les taxes des contribuables).
Est révélateur sur ce sujet l'échange qui eut lieu entre M. Wright Patman (photo de gauche), Président du Comité de la Chambre des Représentants des Etats-Unis sur la Banque et le Numéraire, et M. Marriner Eccles (photo de droite), Président de la «Federal Reserve Board» (Banque centrale des Etats-Unis), le 30 septembre 1941, au sujet de la création de 2 milliards $ par la «Réserve Fédérale»:
Patman: «Où avez-vous pris l'argent pour acheter ces 2 milliards $ d'obligations du gouvernement?»
Eccles: «Nous les avons créés.»
Patman: «Avec quoi?»
Eccles: «Avec le droit d'émettre du crédit, de l'argent.»
Patman: «Et il n'y a rien d'autre en arrière, sauf le crédit du gouvernement.»
Eccles: «Nous avons les obligations du gouvernement.»
Patman: «C'est exact, le crédit du gouvernement.»
La solution: un argent sans dette créé par la société
Cela nous met sur la piste de la solution au problème de la dette: si les obligations sont basées sur le crédit du gouvernement, pourquoi le gouvernement a-t-il besoin de passer par les banques pour faire usage de son propre crédit?
voir aussi: Thomas Edison
Ce n'est pas le banquier qui donne la valeur à l'argent, mais le crédit du gouvernement, de la société. La seule chose que fait le banquier dans cette transaction, c'est d'apporter une écriture, des chiffres, qui permettent au pays d'utiliseer sa propre capacité de production, de faire usage de ses propres richesses.
L'argent n'est pas autre chose que cela: un chiffre. Un chiffre qui donne droit aux produits. L'argent n'est qu'un signe, une création de la loi (Aristote). L'argent n'est pas la richesse, mais le signe qui donne droit à la richesse. Sans produits, l'argent n'a aucune valeur. Alors, pourquoi payer pour des chiffres? Pourquoi payer pour ce qui ne coûte rien à fabriquer?
Et puisque cet argent est basé sur la capacité de production de la société, cet argent appartient aussi à la société. Alors, pourquoi la société devrait-elle payer les banquiers pour l'usage de son propre argent? Pourquoi payer pour l'usage d'un bien qui nous appartient? Pourquoi le gouvernement n'émet-il pas directement son argent, sans passer par les banques?
Le système bancaire actuel cause la pauvreté en face de
l'abondance en endettant tous les pays et personnes. Les prêts à intérêts ne sont pour la plupart que de simples écritures tirées du néant, c'est à dire de la fausse monnaie, selon Maurice Allais, Prix Nobel d'économie en 1988
dans « La crise mondiale aujourd'hui »
(Ed. Clément Juglar 1999).
.
Pollution www.m-c-s.ch
Comment nous volent-ils ?
Il faut réagir et exiger des gouvernements de changer le système monétaire actuel qui ne bénéficie qu'aux actionnaires des grandes banques privées que sont la BCE et la FED (qui sont d'ailleurs les actionnaires du FED, qui est une Société Anonyme privée comme Federal express ??)
L'argent ne doit plus être une marchandise dont nos politiques ont laissé la création au seul monopole de ces banques. Elles créent de l'argent ex-nihilo (c'est à dire qu'elles ne le possèdent pas) sans fournir aucun effort et nous travaillons pour les rembourser.
Pour le prix Nobel Maurice Allais ( voir le Monde du 25.10.1988), les banques sont quasi comparables à de faux monnayeurs dont nous blanchissons l'argent par notre travail à chaque remboursement de nos prêts… et en plus nous payons un taux d'intérêt...sur notre propre argent...
Ils ont abusé du système et prouvé que la monnaie peut être créée par l'État sans taux d'intérêt à leur verser.
Le système monétaire international n'est pas durable : 97% de l'argent correspond à de l'argent spéculatif et seulement 3% correspond à de l'économie réelle avec une monnaie devenue la marchandise la plus rentable du système. A partir de l'exemple de la nature, dans laquelle toute chose s'arrête de croître tôt ou tard, notre système économique actuel à un cancer ; la logique actuelle du système qui exige une productivité et une rentabilité allant toujours crescendo, devrait aboutir à terme à la destruction de notre civilisation, comme le prolifération anarchique des cellules cancéreuses conduit à la mort de l'organisme. Il est urgent de mettre en place d'autres systèmes monétaires qui pourront prendre le relais en cas d'effondrement du système monétaire principal.
De façon générale, Helmut Creutz et M. Kennedy nous démontraient, chiffres et tableaux à l'appui, que plus de 40% des coûts proviennent des intérêts qui rentrent dans le prix des produits que nous achetons :
à chaque niveau, les entreprises répercutent le prix de l'intérêt sur leur clients immédiats.
80% de la population paie plus qu'elle ne reçoit
10% reçoivent beaucoup plus qu'ils ne pourraient jamais dépenser même en ayant plusieurs vies.
De plus, Helmut Creutz avait calculé que, du fait de l'ajout du coût de
l'intérêt dans chaque étape et à chaque cycle de la production des
biens, ceux-ci nous coûtent à tous le double et que tous ceux qui
travaillent consacrent trois heures par jour en plus pour en payer les
conséquences.
Et voilà que, nos logements sont 77 % plus petits ...que ceux que nous
pourrions avoir sans les sangsues subtiles du système à intérêt qui s'ajoute à chaque cycle et valeur ajoutée.
La nouvelle situation de 2008-2009 monte ces coûts encore plus hauts, à environ 85 % de surcoût pour les logements...
IL FAUT CHANGER LA MONNAIE DE SINGE ACTUELLE ET LA LIBÉRER.
Les physiocrates notamment, sans oublier les économistes Fisher, Quesnay, Proudhon, Douglas, Duboin qui démontrent que l'argent ne doit pas être créé par les banques, mais par un institut étatique en faveur des citoyens. C'est un bien commun, c'est le sang de la société...
Mais nous vivons encore sous un vieux système qui est une structure de vol subtil et
caché basé notamment sur l'ignorance et sur la peur de la disette.
« Dans son essence la création de monnaie ex nihilo actuelle par le
système bancaire est identique … à la création de monnaie par des faux
monnayeurs.
Concrètement elle aboutit aux mêmes résultats. La seule
différence est que ceux qui en profitent sont différents »
M. Maurice Allais
Physicien et économiste
Prix Nobel d'économie en 1988
La plupart des dettes sont donc des illusions qui tuent pour de vrai.
Nous devons simplement les ignorer et les faire effacer.
Des milliards seront alors libérés pour les vrais besoins, la santé, l' éducation,
la sécurité, la distribution de revenus pour les plus faibles qui meurent.
De plus, Helmut Creutz notamment a calculé avant la crise que,
du fait de l'ajout du coût de l'intérêt dans chaque étape
et à chaque cycle de la production des
biens, ceux-ci nous coûtent à tous le double et que tous ceux qui
travaillent consacrent trois heures par jour en plus pour en payer les
conséquences.
Et voilà que, nos logements sont 77 % plus petits ...que ceux que nous
pourrions avoir sans les sangsues subtiles du système de petits
copains.
La plupart des dettes bancaires sur les communes, cantons, Etats,
régies, entreprises etc sont du vol rusé par création monétaire du
néant.
Ceux qui paient cette gabegie, c'est nous, les tondus, toujours plus
nombreux, au prix de maintes maladies, dépressions, haines,
disputes...
Les tondus deviennent de plus en plus nombreux et le processus,
exponentiel, s'accélère. Les sangsues vont se trouver sur des corps
tellement malades que le système peut s'écrouler sans une réaction
vigoureuse de personnes avec du caractère. www.pervenit.com
Les petits de l'argent prennent la place des petits des hommes....la
démographie s'écroule et l'économie suit...notre civilisation est
mortelle...
Les banques poussent à la mesquinerie, aux hausses d'amendes,
d'impôts.... Elles organisent les requins à exploiter les plus
faibles.
Primes d'assurances, loyers exorbitants, taxes et impôts galopants,
coût de la vie, amendes de stationnement,etc.… Politique des petits
copains, ententes secrètes, gaspillages, escroqueries, mafia, cartels,
monopoles, chômage, crise, petits logements, stress, alcool,
drogue,....
Nous sommes libres de réagir contre ces vols subtils. Un pour tous,
tous pour un. Gauche, droite, c'est vieux jeu. Soyons unis.
Soutenons la famille Ferraye dans sa lutte pour récupérer ce qui lui a été volé.
Soutenons la famille Burdet qui aide la famille Ferraye et dont l'un des membres est
injustement en prison pour avoir dit la vérité sur l'affaire Ferraye.
http://ferraye.blogspot.com/
www.burdet.info
C'est une chance historique, David contre Goliath.
Nous sommes le réel, nous luttons pour vous et vos enfants.
Aidez-nous concrètement dans notre combat.
Vous recevrez le centuple déjà dans ce monde et la vie éternelle au paradis.
Votre aide est précieuse, aujourd'hui, en faisant circuler largement cette nouvelle, le monde est déjà meilleur grâce à ce simple geste de solidarité.
Lev. 25: 23
Affaire Kennedy : Quand JFK mettait en garde contre une "conspiration monolithique"..
Grand congrès international en 4 langues chaque année début septembre à Rougemont, au Canada. ( Près de Montréal)
Venez avec vos amis au grand congrès international en 4 langues et aux semaines d'études chaque .
Universités de printemps et d'été
Les semaines d'études concentrées sur le Crédit Social ont lieu la semaine qui précéde le congrès à fin août de chaque année et du 13 au 20 mars 2010.
Séances d'étude sur la Doctrine Sociale de l'Église et sur le Crédit Social pour les familles créditistes et pour tous ceux et celles qui voudront y assister.
Semaine d'étude de la Doctrine Sociale
de l'Église et de son application pour vaincre la crise et la pauvretédu 13 au 20 mars 2010
Suivra une semaine de prière, et une retraite prêchée par Son Excellence Mgr Marie-Daniel Dadiet, Archevêque de Korhogo, Côte d'Ivoire
Siège de Jéricho 2010
7 jours et 6 nuits d'adoration
devant le Saint Sacrement Exposédu 21 au 27 mars
Maison de l'Immaculée, 1101 Principale,
à Rougemont au Canada. 450- 469-2209
Venez nombreux à cette semaine d'étude et à cette semaine d'adoration et de retraite qui nous enflammera d'amour pour Dieu et notre prochain
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