A much anticipated and timely encyclical. How to implement it ?

samedi 5 février 2011

Non à la torture ! Bush ne viendra pas en Suisse !

La résistance paie toujours:

http://www.tsr.ch/video/info/journal-12h45/2939151-ge-georges-bush-qui-etait-l-invite-d-honneur-d-une-organisation-caritative-juive-ne-viendra-pas-a-geneve-le-week-end-prochain.html#id=2939151


05 FÉVRIER 2011

Bush à Genève : tout va très mal, Madame la baronne!

Georges W. Bush ne viendra donc pas à Genève. Selon La Tribune du jour, l'association Keren Hayessod préfère annuler ce rendez-vous. Est-ce parce que l'ancien président USA est sous le coup d'une plainte pour crime contre l'humanité ? Est-ce parce qu'il a permis la torture dans les prisons américaines, égyptiennes ou syriennes ? Que non ! Deux motifs sont donnés par l'avocat de l'association juive. « Les propos tenus à l'égard de notre association nous ont écœurés ». Et « Il n'était pas question de jouer avec la sécurité des biens et des personnes à Genève ». Une manière comme une autre de se disculper et surtout de décriminaliser Georges W. Bush.

Nous en prenons note mais relevons que dans ces deux motifs, rien ne permet à Me Robert Equey, avocat du Keren Hayessod, d'insulter l'UDC en parlant des « relents de plus en plus nauséabonds » et des « relations incestueuses entre l'extrême gauche et l'extrême droite ». La démarche que Dominique Baettig et moi-même avons entreprise ne relevait en rien d'un anti-américanisme primaire propre aux gauchistes de tout poil. Elle s'en prenait à un responsable politique, relevant d'une plainte auprès de la Cour internationale de Justice ainsi que de l'obligation qui est faite à la Suisse de l'arrêter pour son autorisation à la pratique de la torture. Une démarche qui nous permet aussi de contrôler l'indépendance réelle de notre pays vis-à-vis des USA après les catastrophiques prestations de Mme Micheline Calmy-Rey sur le dossier de l'UBS.

Pour preuve de notre motivation exacte, je publie la lettre que j'ai envoyée hier (donc avant de connaître la décision du Keren Hayessod) à Madame la baronne de Rothschild. Elle est aujourd'hui inutile et c'est tant mieux. Reste ma demande faite au procureur général. Elle lui demandait d'intervenir pour un événement précis. Je lui écrirai prochainement pour préciser que toute venue du fiston Bush à Genève est sujette à arrestation.

http://riton.blog.tdg.ch/archive/2011/02/05/81926d58d75e9beb5bd9699eb69fe9b7.html


Eric Bertinat 11, avenue Henri-Golay 1203 – Genève 

à

Madame Nadine De Rothschild Route de Pregny 30 1292 Chambésy 


Le 12 février, dites à Georges W. Bush qu'il doit rester dans son ranch !

 

Madame, 

Un citoyen et député genevois se permet de vous adresser la requête suivante : Téléphonez à Georges W. Bush et dissuadez-le de se rendre à Genève le 12 février prochain ! L'étendue de votre carnet d'adresses est connue et je pense sincèrement que vous pouvez contribuer à régler une situation délicate pour les nombreux acteurs concernés par sa venue. Et ainsi épargner aux Genevois de nombreux heurts d'ores et déjà annoncés sur la place publique. 

Evitez-lui une possible arrestation qui n'est de loin pas à exclure ! L'arrivée de Georges W. Bush à l'aéroport de Genève-Cointrin sera médiatisée et connue dans le monde entier. Ce personnage nuit à l'image de marque de la communauté juive établie à Genève. Et même à celle d'Israël et de sa sécurité sur sa frontière sud. L'actualité nous montre la rue égyptienne qui se révolte non seulement contre son président Moubarak mais aussi contre l'outsourcing du programme de torture et de rendition extraordinaire qui eut lieu sur le sol égyptien et syrien durant les années Bush (voir le rapport d'Amnesty International à ce sujet (1).


J'ai appelé le Procureur général, M. Daniel Zappelli, à intervenir afin de respecter la Convention contre la torture que la Suisse a signée. Je vous invite à consulter mon blog (2) et attire votre attention sur des commentaires nauséabonds que je considère comme insultants et dont j'ose espérer que vous ne partagerez pas la teneur. 

Dans l'attente de votre aimable réponse, je vous prie de croire, Madame, en ma gratitude anticipée et ma haute considération. 


Eric Bertinat 


 

http://www.amnesty.ch/fr/themes/guerre-contre-le-terrorisme/vols-secrets-de-la-cia 

http://riton.blog.tdg.ch/archive/2011/01/31/georges-w-bush-aller-simple-pour-champ-dollon.html 


Alain Bovard, juriste pour la section suisse d'Amnesty International, explique que l'organisation a récemment demandé aux Etats-Unis l'ouverture d'une enquête sur les crimes de guerre commis par George W. Bush. 


Celui-ci a écrit dans sa récente autobiographie, Instants décisifs, avoir autorisé notamment les actes de tortures consistant à simuler la noyade lors d'interrogatoires.

 

Il est prouvé que d'autres sortes de tortures avaient lieu, notamment à Abbou Graib, en Egypte, Tunisie, Yougoslavie, Maroc...


Début 2004, le monde entier découvre avec stupéfaction les photos qui prouvent les mauvais traitements et les infamies dont ont été victimes des prisonniers iraquiens détenus à la prison américaine d'Abu Ghraib. Pendant deux ans, Errol Morris a enquêté 
pour découvrir ce qui s'est vraiment passé là-bas durant l'automne 2003. Grâce aux photos prises par les soldats, aux témoignages de plusieurs spécialistes et de personnes parfois directement impliquées dans cette affaire, Errol Morris a reconstitué la chronologie des faits et étudié le contexte qui a conduit à ces extrémités. Interview après interview, photo après photo, l'affaire des tortures d'Abu Ghraib prend une dimension bien plus vaste et beaucoup plus dérangeante que celle brossée par les médias. Même si les soldats pris en photo en train d'humilier et de torturer les prisonniers iraquiens ont été condamnés, étaient-ils les seuls coupables ? Pourquoi aucun gradé n'a-t-il jamais été mis en cause ? Qui est vraiment responsable ? 


1ère partie:

http://www.dailymotion.com/video/x761x1_abou-ghraib-standard-operating-proc_news


2ème partie:http://www.dailymotion.com/video/x762k7_abou-ghraib-standard-operating-proc_news 


Quant aux raisons du choix porté sur l'ex-président étasunien, les représentants de la Fondation Keren Hayessod n'ont pas souhaité répondre à nos questions. 

ALINE GROLEY – Le Courrier

http://www.lecourrier.ch/index.php?name=NewsPaper&file=article&sid=447914


vendredi 4 février 2011

Madoff: JPMorgan Chase "au centre de la fraude" pyramidale, risque systémique, fraude de Ponzi mondiale.

Affaire Madoff: JPMorgan Chase, risque systémique, fraude de Ponzi mondiale.

La banque américaine JPMorgan Chase était "au centre de la fraude" pyramidale affirme une plainte du liquidateur de l'affaire publiée jeudi.

Le liquidateur, qui récupère les fonds perdus dans cette escroquerie estimée entre 23 et 65 milliards de dollars, réclame 6,4 mrds à JPMorgan.

Des courriels internes évoquent la fraude pyramidale.

Le liquidateur a déjà récupéré 10 mrds.

JPMorgan Chase est membre du Carlyle Groupe, voici encore un risque systémique, une fraude de Ponzi mondiale.

Wikileaks va livrer dans les jours qui viennent des milliers de secrets bancaires, les banques et leurs clients mafieux veulent par conséquent détruire www.Wikileaks.ch par tous les moyens.

http://ferraye.blogspot.com/2009/04/la-vraie-liste-remise-pierre-beregovoy.html

http://desiebenthal.blogspot.com/2009/04/beregovoy-t-il-ete-assassine-pour-rien.html

http://www.cbsnews.com/stories/2010/12/02/business/main7111079.shtml



Comment créer et partager les surplus:
https://docs.google.com/viewer?a=v&pid=explorer&chrome=true&srcid=1Kxlo32UKwGx0fVhNYmkul1mr0oKs6RyIIdzKOUAlcWVv6n83Z-Cnr8lc-EHs&hl=fr


à faire circuler largement, merci, le monde est déjà meilleur grâce à ce simple geste de solidarité.

jeudi 3 février 2011

Guerre contre l'Iran imminente. Bush à Genève pour en parler ?


Plus de 1'000 avions de guerre prêts à décoller depuis Israël avec des GBU-28 qui sont  des bombes à guidage laser de 2.268 kg chacune !


Une dépêche secrète affichée sur le net par www.WikiLeaks.ch  en novembre dernier

relate le déroulement d'une réunion de novembre 2009 du Joint Political Military Group (JPMG), une organisation américano-israélienne qui coordonne la politique miliaire des deux gouvernements. Le sujet principal de la discussion était le programme nucléaire iranien, et les officiels de l'armée israélienne ont averti qu'il ne restait plus beaucoup de temps avant une attaque militaire contre des installations iraniennes.


« Le GOI |[gouvernement d'Israël] a qualifié l'année 2010 d'année cruciale – si les Iraniens continuent à protéger et à renforcer leurs sites nucléaires, il sera plus difficile de les atteindre et de les endommager » lit-on dans le document. 


« Les représentants des deux pays ont ensuite parlé de la livraison imminente de bombes anti-bunker GBU-28 à Israël, en précisant que le transfert devrait être effectué discrètement pour ne pas prêter le flanc à l'allégation que le gouvernement américain (USG) aide Israël à préparer une attaque contre l'Iran. »


La GBU-28 est une bombe à guidage laser de 2.268 kg que l'armée américaine a fabriquée en préparation de la guerre du Golfe de 1991 contre l'Irak. 


Elle a été conçue pour pénétrer sous terre et pour traverser le béton armé dans le but de détruire les centres de commandement et de contrôle irakiens. 


Israël a reçu des Etats-Unis des centaines de ces puissantes bombes pour les utiliser contre l'Iran. Certaines seront avec des déchets nucléaires, comme en Irak.


VZCZCXRO1498
OO RUEHROV
DE RUEHTV #2500/01 3221430
ZNY SSSSS ZZH
O 181430Z NOV 09
FM AMEMBASSY TEL AVIV
TO RUEHC/SECSTATE WASHDC IMMEDIATE 4258
INFO RUEHXK/ARAB ISRAELI COLLECTIVE PRIORITY
RUEKJCS/JOINT STAFF WASHDC PRIORITY
RUEKJCS/SECDEF WASHDC PRIORITY
RHEHNSC/NSC WASHDC PRIORITY

S E C R E T SECTION 01 OF 02 TEL AVIV 002500 

SIPDIS

E.O. 12958: DECL: 11/17/2019
TAGS: PREL PGOV MOPS PTER EG CH IR RU SA LE TU IS
SUBJECT: 40TH JOINT POLITICAL-MILITARY GROUP: EXECUTIVE
SESSION (PART 1 OF 4)

Classified By: A/DCM Marc Sievers, reasons 1.4 (b,d)

1. (S) Summary: During the Executive Session of the 40th
Joint Political Military Group (JPMG), U.S. and Israeli
counterparts continued discussion on the creation of four new
Qualitative Military Edge (QME) working groups. GOI
interlocutors continued to raise concerns regarding the F-15
sale to Saudi Arabia. Both sides agreed that continued
pressure be applied to Iran, especially following the
disclosure of the nuclear facility in Qom. GOI participants
expressed concern regarding Chinese and Russian cooperation
with respect to enhanced Iranian sanctions. The GOI also
raised dual citizenship concerns with respect to access to
sensitive technology, and noted from its perspective Turkey's
disturbing change of course toward Syria and Iran -- and away
from Israel. This is the first in four cables (septels)
reporting on the JPMG. End summary.

2. (SBU) Israeli Participants:

-- Brigadier General (res) Pinchas Buchris, MOD Director
General
-- Major General (ret) Amos Gilad, MOD Political-Military
Chief
-- Brigadier General Ronen Dan, acting Israeli Defense
Attache to the United States
-- Gad Dovev, Director, MOD Mission, New York
-- Alon Bar, MFA Deputy Director General for Strategic Affairs
-- COL Shimon Arad, IDF J5
-- Rami Yungman, MOD Political-Military Bureau
-- Schmuel Royter, Assistant to the MOD Director General

U.S. Participants:

-- Andrew Shapiro, Assistant Secretary of State, Bureau of
Political-Military Affairs
-- Luis Moreno, Deputy Chief of Mission, U.S. Embassy Tel Aviv
-- Dr. Colin Kahl, International Security Affairs, Deputy
Assistant Secretary of Defense
-- Brigadier General Jefforey Smith, Joint Staff
-- Prem Kumar, Director for Israeli, Palestinian, Egyptian
and Jordanian Affairs, NSC
-- Tom Goldberger, Director for Israel and Palestinian
Affairs, Bureau of Near Eastern Affairs
-- COL Richard Burgess, Defense Attache, U.S. Embassy Tel Aviv

Qualitative Military Edge
-------------------------

3. (S) The Executive Session continued discussion from the
September 30 Qualitative Military Edge (QME) meeting in
Washington. Both sides presented their primary points of
contact for the four newly proposed working groups focusing
on previous agreements, mitigation measures for the F-15 sale
to Saudi Arabia, technical mitigation issues, and
intelligence/policy. Agreement was reached to begin working
on the details of each working group's meeting schedule and
timeline.

4. (S) The GOI continued to express concern over the F-15
sale to Saudi Arabia. U.S. participants noted that the USG
is unable to provide more detailed information about the sale
until Saudi Arabia officially sends a Letter of Request
(LOR). The GOI expressed additional concerns about
stationing these new aircraft at Tabuk airfield in the
northwest corner of Saudi Arabia -- close to the Israeli
border. U.S. participants stated the USG understanding that
this should not be an issue, as the Saudis are considering
stationing new Typhoon aircraft at Tabuk. The GOI also
raised AMRAAM sales to Jordan; U.S. participants explained
that the new C-7 AMRAAM is an export version with
capabilities similar to the C-5 version -- and therefore
provides little to no increase in capabilities.

Iran, China and Russia
----------------------

5. (S) Both sides expressed concern over the recent
revelation regarding Iran's nuclear facility at Qom, and
agreed that increased pressure should be applied directly and
internationally against Iran in order to better determine
Tehran's motives and next steps. Both sides agreed that the
facility at Qom should be inspected immediately. One member
of the Israeli delegation expressed the opinion that some
consideration be given to "shutting Qom operations down
completely" to prevent further progress on obtaining a
nuclear weapon. That said, the GOI argued that the
international community not become bogged down on the Tehran
Research Reactor (TRR) and Qom, thereby diverting focus from
the bigger issue of Iran's nuclear program.

6. (S) Several questions were raised about China's position
on Iran's efforts to acquire a nuclear weapon. Both sides
agreed that continued engagement with China and Russia is
needed -- as well as building a consensus in Europe. The USG
speculated, and the GOI concurred, that China will follow
Moscow's lead. USG participants argued that China would seek
to avoid an international confrontation over Iran. The GOI
described 2010 as a critical year -- if the Iranians continue
to protect and harden their nuclear sites, it will be more
difficult to target and damage them. Both sides then
discussed the upcoming delivery of GBU-28 bunker busting
bombs to Israel, noting that the transfer should be handled
quietly to avoid any allegations that the USG is helping
Israel prepare for a strike against Iran.

7. (S) The GOI made the case for "crippling sanctions";
cooperation between the United States, Europe, Russia and
China will be necessary in order for these sanctions to be
effective. U.S. participants stressed the USG position that
any discussions with Iran on this subject be finite; the USG
will continue to monitor whether negotiations are making
progress. The GOI stated that it is not convinced the
Iranians will negotiate in good faith unless there are
visible and clear threats. U.S. delegation members described
eight lanes of sanctions, and outlined a plan to "pivot to
apply appropriate pressure" on those points and tracks that
have the most impact. U.S. participants concurred that 2010
is a critical year -- but the continued application of
pressure is vital.

8. (S) Regarding Russia, the GOI was not confident that
Moscow will be helpful in any Iranian sanctions effort -- GOI
participants opined that Russia is considered a "mystery"
with respect to their views on Iran. The GOI raised the
Russian S-300 sale to Iran, noting that the transfer is still
pending. GOI participants argued that Moscow seeks a return
to superpower status, but there are contradictory trends
regarding Russia's internal condition.

Dual Citizenship Issues
-----------------------

9. (S) The GOI raised the issue of dual citizenship within
the context of access to sensitive technology. U.S.
participants acknowledged Israeli concerns, noting that the
issue is being worked at the highest levels of the USG to
reach consensus on how to proceed. The GOI recommended
obtaining a waiver similar to the relationship from which
Canada or Australia benefit.

Turkey
------

10. (S) The GOI raised the current direction the Government
of Turkey has taken toward Syria and Iran -- and away from
Israel. Israeli participants argued that Turkey has been
supportive of Hamas in Gaza while pursuing a more "Islamic"
direction with the goal of becoming a regional superpower.
The GOI argued that the Turkish military is losing its
ability to influence government decisions and strategic
direction. After this past year, GOI participants said they
have a "bad feeling" about Turkey. The GOI noted that the
Israel Air Force (IAF) Commander in the past wanted to speak
to the Turkish Air Force Commander, but his Turkish
counterpart declined.

11. (U) A/S Shapiro has cleared on this cable.
CUNNINGHAM

Non à l'initiative contre les armes !

Des millions de morts, une fois les peuples désarmés ! NON

Les dictateurs commencent par désarmer les peuples, puis arment toujours plus de criminels et tuent des millions d'innocents, femmes et enfants.

Il manque près de 100 millions de femmes rien qu' en Chine !




Des millions de morts, une fois les peuples désarmés ?

Ne soyez pas des moutons naïfs !  Tout peut changer très vite ! Nous avons besoin d'une défense !

Jésus a demandé à ses apôtres de vendre des vêtements pour avoir au moins 2 épées.

"Il leur dit encore: Quand je vous ai envoyés sans bourse, sans sac, et sans souliers, avez-vous manqué de quelque chose?
Ils répondirent: De rien.
Et il leur dit: Maintenant, au contraire, que celui qui a une bourse la prenne et que celui qui a un sac le prenne également, que celui qui n'a point d'épée vende son vêtement et achète une épée.
Car, je vous le dis, il faut que cette parole qui est écrite s'accomplisse en moi: Il a été mis au nombre des malfaiteurs.
Et ce qui me concerne est sur le point d'arriver .Ils dirent: Seigneur, voici deux épées.

Et il leur dit: C'est assez."
(Luc 22. 35 à 38)


Même le pape a des gardes suisses armés. Trop d'angélisme est ridicule ! La légitime défense est chrétienne.

La Doctrine sociale de l'Église donne des règles strictes, et notamment que pour être licite, l'usage de la force doit répondre à :

  • ce que le dommage infligé par l'agresseur soit durable, grave et certain (Justification)
  • ce que tous les autres moyens d'y mettre fin se soient révélés impraticables ou inefficaces (Négociation)
  • ce que soient réunies les conditions sérieuses de succès (Interdiction des attaques suicide)
  • ce que l'emploi des armes n'entraîne pas des maux et des désordres plus graves que le mal à éliminer (Atome).

Parmi les références notables à ce sujet :


Le chrétien, de par sa foi, connaît la hantise de savoir s'il agit conformément à cette règle. Ambroise, dans De Officiis I,29 précisait qu'il y avait deux manières de pécher contre la justice :

« [...] l'une , c'est de commettre un acte injuste, l'autre c'est de ne pas venir au secours de la victime d'un injuste agresseur. »


Non à l'initiative contre les armes !

Plus d'arguments:

http://desiebenthal.blogspot.com/2011/01/gardons-nos-armes-de-defense-votons-non.html

Neutralité armée.



mercredi 2 février 2011

H1N1. Vaccins et Tamiflu dangereux ! Scandales !

Vaccins H1N1, comme nous l'avions prévu, la vérité commence à sortir.

De plus, le Tamiflu est dangereux, cher et inefficace  !

Un vaccin anti-H1N1 probablement lié à des cas de narcolepsie
Le Figaro-

mais surtout

http://www.lematin.ch/actu/monde/vaccin-pandemrix-anti-h1n1-inquiete-381550

Cherchez à qui le crime profite ?

Donald Rumsfeld, le secrétaire à la Défense de Georges W. Bush en 2001, en a été le directeur en 1988, le Président du Conseil d'Administration de 1997 à 2001, après que Gilead ait cédé à Roche, en 1996, tous les droits d'exploitation du Tamiflu, contre 10 % des ventes [29].

  1. Bonjour Mr X: (président d"un gros groupe pharmaceutique.)
    Je suis Mr Y:(chimiste):"J'ai mis au point un virus,le H1N1,j'ai aussi mis un point un pseudo antidote à ce virus,le Tamiflu. Seriez vous intéressé par une collaboration ?


  2. C'est très simple de libérer le virus dans une région du monde ou tout le monde s'en fout que des gens meurent, ont attend quelques semaines la propagation du virus,les gens sont paniqués, les gouvernement ont peur, et ...vous aurez une commande de minimum 500 millions de doses de Tamiflu. Il suffit de m'acheter le brevet,qui est de 30 millions de dollars."
    Il suffit de 2 hommes pour en arriver au stade ou nous sommes aujourd'hui…Qui ne serait pas prêt à tout pour de l' ARGENT …
    Les boites pharmaceutique sont connues pour être de véritables requins, prêtes à tout pour s'engraisser,en rendant les gens malade dans un 1er temps et en leurs vendant par la suite le médicament miracle.
    Beaucoup seraient prêt à faire pire pour plusieurs milliards de dollars, la preuve…

Commentaire de Fuzoff

(Source : Mondialisation.ca)

par Dr Pascal Sacré

L'industrie pharmaceutique mène une guerre implacable, au budget colossal, aux manœuvres impitoyables, aux techniques innombrables, contre nos santés. Une histoire des médicaments…

Dans son livre, « The drug story : A factological history of America's $10,000,000,000 drug cartel, its methods, operations, hidden ownership, profits and terrific impact on the health of the American people », paru en 1949, Morris A. Bealle nous raconte une "drôle" d'histoire. Celle du Nujol [chapitre 1, « What Nujol Started »].

William Avery Rockefeller est né en 1810 et mort en 1906, patriarche d'une dynastie aussi célèbre que discrète, et descendant d'immigrants allemands (Roggenfelder). Old Bill (son surnom), fermier à New-York jusqu'en 1850, se rendit ensuite à Cleveland, où il se fit passer frauduleusement pour un docteur en médecine : le docteur Levingston [1]. Dans son livre étonnant, M. A. Bealle relate qu'Old Bill était marchand de produits « pharmaceutiques », faisant penser à ces charlatans, faux docteurs itinérants en carriole, vendant des élixirs douteux, popularisés par la bande dessinée Lucky Luke (Docteur Doxey), et préfigurant nos visiteurs médicaux (représentants pharmaceutiques).

Beaucoup de remèdes à base de pétrole étaient vendus comme « médicaments » par une clique d'escrocs et de charlatans, Seneca Oil, Rock Oil et American Medicinal Oil. [2] Old Bill vendait des flacons de pétrole brut aux fermiers naïfs, leur faisant croire que c'était un traitement contre le cancer. Il appelait son élixir en flacon : Nujol (New Oil : Nouvelle Huile).

Pendant que son fils John D. Rockefeller Ier fondait la Standard Oil Company, en 1870, grâce aux prêts d'une autre famille discrète et célèbre, les Rothschild, William achetait une fiole de pétrole brut de 30 grammes à la Standard Oil pour 21 cents et la revendait 2 dollars à tous ceux qu'il arrivait à convaincre qu'ils étaient malades et seraient mieux avec son « remède ». Très peu cultivé, peu scrupuleux, sans connaissance ou formation médicales, avec quelques notions de comptabilité et une avidité féroce, il sut s'imposer. Le Nujol fut finalement baptisé « cure contre la constipation » et largement commercialisé, avec quelques améliorations provenant des chimistes de la Standard Oil. Cependant, des médecins découvrirent que le Nujol était nocif et provoquait des maladies graves, éliminant les vitamines liposolubles du corps.

La Standard Oil lutta contre la chute des ventes en ajoutant du carotène au pétrole brut pour parer à toute carence. Le sénateur Royal Samuel Copeland, médecin homéopathe et élu sénateur à New York en 1924, aurait été payé 75 000 dollars par an pour promouvoir le Nujol [3]. Beaucoup de médecins ont continué de décrier, en vain, les effets nocifs du Nujol de la Standard Oil. Le médicament Nujol existe toujours sous forme d'huile de paraffine pure, classé comme laxatif doux, il est recommandé pour la constipation chronique rebelle aux thérapeutiques hygiéno-diététiques habituelles.

Dans le livre du docteur Dirk Van Duppen, « La Guerre des Médicaments », nous découvrons sans surprise que dans le top-500 des plus grandes entreprises américaines, l'industrie pharmaceutique est la plus rentable (Fortune 500) [4]. « Pour chaque dollar de chiffre d'affaires, il y a 17 cents de bénéfice net. C'est 5,5 fois plus que la moyenne du top 500 de Fortune. Le taux de profit sur le capital atteint 14,5 % soit six fois la moyenne de Fortune 500. Le bénéfice sur les actions atteint même 27,6 %, soit presque trois fois plus que la moyenne de Fortune 500. En 2002, le bénéfice commun des dix plus grosses entreprises pharmaceutiques s'élevait à 35,9 milliards de dollars. Ce qui leur permettait de dépasser les 33,7 milliards de bénéfice réalisé par les 490 entreprises restantes ! » [5] Cette rentabilité ne faiblit pas d'année en année [6]. Ainsi, « les analystes financiers pensent que le secteur de l'industrie pharmaceutique et biotechnologique est voué à une croissance annuelle du cours des actions de 25 % sur 2009 [7] ».

Quel en fut la part des vaccins dans ces périodes de peur grippale organisée ?

« Les vaccins, un créneau sous les feux de la rampe compte tenu de la grippe H1N1 […] Le marché mondial des vaccins antigrippaux représente 25% du marché des vaccins globaux lui-même évalué à 14 milliards de dollars en 2008 (ou 2% du marché pharmaceutique). » [8]

Par comparaison, « Avec un marché mondial des troubles métaboliques et endocriniens valorisé à plus de 68 milliards de dollars en 2009, le marché mondial des traitements du diabète représente plus de 28 milliards de dollars. » [9]

Autant d'argent en jeu laisse peu de place à l'éthique.

Continuons la Drug story.

Le Lipitor (atorvastatine) est commercialisé par la firme Pfizer, premier laboratoire pharmaceutique mondial au 12 mars 2009 (classement par Chiffres d'Affaires du groupe – cité par « Les Echos » – 75 milliards de dollars). Présenté comme un médicament miracle, de la famille des statines, le Lipitor (et d'autres, zocor, lipanthyl, crestor…) permet de réduire les taux élevés de cholestérol, protégeant contre les attaques cardiaques. Le Lipitor de Pfizer, en outre, occupe la première place du classement prévisionnel des dix médicaments les plus vendus dans le monde en 2010 [10]. Il devrait réaliser un chiffre d'affaires mondial de 11,7 milliards de dollars en 2010. Pourtant, il est possible que les statines dont le Lipitor de Pfizer induisent à long, voire à moyen terme, une insuffisance cardiaque congestive comme le souligne le cardiologue Peter Langsjoen de Tyler, Texas. Langsjoen a renoncé à une carrière attrayante dans un hôpital universitaire afin de consacrer sa compétence à ce qu'il appelle « l'insuffisance cardiaque congestive induite par les statines ». Mais ce n'est pas tout.

Cancers, pertes de mémoire, immunosuppression, perte de la sensibilité à l'insuline (hormone de régulation de la glycémie), troubles cognitifs ou psychiatriques conduisant au suicide, accident vasculaire cérébral, la liste des effets secondaires des statines, souvent non précisées par la firme, est longue, très longue. Joël M. Kaufmann de l'Université de Philadelphie (Prof. émérite) a examiné certains rapports et a trouvé une explication peu flatteuse.

« Les compagnies pharmaceutiques scindent parfois un effet indésirable grave en plusieurs effets secondaires mineurs, afin que leur médicament soit approuvé », a-t-il dit récemment dans une conférence.

« Il s'agit d'une méthode éprouvée afin de maintenir les effets néfastes vraiment alarmants au-dessous des 1% » requis. [11]-voir biographie médicale du Dr P. Langsjoen dans cette référence.

A l'hôpital Baystate Medical Center (Springfield, Massachusetts), l'éthique médicale a reçu un nouvel uppercut à l'estomac. Pfizer a financé presque toutes les études de l'anesthésiste Scott Reuben, spécialisé dans le traitement de la douleur postopératoire et considéré par ses pairs comme une référence en analgésie (la prise en charge de la douleur), ayant notamment publié des études capitales sur le Lyrica (prégabaline) de Pfizer, pour la prise en charge des douleurs neuropathiques, à l'origine de souffrances d'ordinaire très difficiles à soulager. Ces études ont été publiées dans les revues spécialisées les plus prestigieuses de la profession telles Journal of Clinical Anesthesia, Anesthesiology, Anesthesia and Analgesia, etc. Or le Dr Reuben, sponsorisé par la firme Pfizer entre 2002 et 2007, aurait menti, manipulé ses résultats, publié des études fictives. [12]

« Les résultats de ces études – dont 21 sont hautement suspectes -, qui n'ont commencé à soulever des questions que beaucoup plus tard, ont changé en grande partie la façon des médecins d'approcher et de traiter ce type de douleurs postopératoires. » [13]

Le journal Anesthesiology News titre : « Un cas de fraude secoue l'anesthésiologie. Un chercheur du Massachusetts impliqué dans la falsification de données et autres méfaits ».

Vous trouverez dans ce journal la liste des 21 études de Reuben susceptibles d'être retirées en premier.

« Notons que cette indication (douleurs neuropathiques) du Lyrica n'est toujours pas remise en cause de nos jours, à part par des voix indépendantes, telles Arznei-Telegramm, et ce malgré le procès du Neurontin (gabapentine), qui a permis au public comme au monde médical d'apprendre les manipulations et autres interventions de Pfizer afin de présenter le Neurontin comme efficace dans des indications autres que l'épilepsie, alors que ces allégations ne reposent pas sur des fondements scientifiques [14]. »

Selon un article du 11 mars du Wall Street Journal, Scott Reuben a aussi falsifié des données concernant l'efficacité de l'antidépresseur Effexor (venlafaxine), produit par la firme Wyeth (fusionnée avec Pfizer) dans les douleurs neuropathiques et postopératoires. [15]

Pour ce qui est des liens avec Pfizer, l'article du Wall Street Journal nous apprend qu'en plus des financements des recherches par Pfizer, la firme comptait Reuben parmi ses conférenciers ; il était membre du 'speakers bureau' de la firme, terme qui désigne ce stock de leaders d'opinion (key opinion leaders) prêts à l'emploi dès lors qu'il s'agit de promouvoir un médicament du labo qui les paie dans des congrès, des media, des publications, etc. (Voir le site Pharmacritique).

Le médicament phare de Merck, vendu comme un remède miracle entre 1999 et 2004 porte le doux nom de Vioxx. C'est un antidouleur et un anti-inflammatoire. En Australie se tient actuellement un procès qui oppose un millier de particuliers au groupe Merck. Les plaignants accusent le géant pharmaceutique d'avoir caché les risques d'accidents cardiovasculaires liés à l'utilisation du Vioxx. Des membres de la direction de Merck et de ses succursales se sont échangés par mail une liste de chercheurs et d'universitaires ayant mis en évidence les effets négatifs du Vioxx.

Les documents apparus à la Cour fédérale de Melbourne révèlent que des membres du personnel de Merck ont admis avoir usé de tactiques d'intimidation contre des chercheurs critiques, menaçant de couper les vivres à leurs fondations, leurs labos, ou d'interférer dans leurs nominations universitaires… Au moins huit spécialistes en recherche clinique ont été menacés ou intimidés par Merck [16].

Merck aurait aussi créé de toutes pièces une fausse revue scientifique, « The Australasian Journal of Bone and Joint Medicine », la faisant passer pour une publication officielle et indépendante d'expertise scientifique. La revue se contentait en réalité de reprendre systématiquement les articles scientifiques favorables aux produits de la compagnie. Il s'agissait ni plus ni moins que d'une opération marketing, tellement bien faite que seuls des experts avisés de la presse scientifique pouvaient le comprendre.

La FDA estime que le Vioxx, ce traitement largement utilisé contre l'arthrite, a provoqué, entre 1999 et 2004 aux États-Unis, environ 160 000 crises cardiaques et attaques cérébrales. Il serait à l'origine de 27 785 décès. Le médicament a été soustrait des pharmacies en 2004, alors que les rumeurs de dangerosité commençaient à se faire insistantes. En 2007, Merck a conclu un accord amiable avec la plupart des plaignants étasuniens, pour un montant de 4.5 milliards de dollars. (Voir le site Les Mots ont un Sens ). Les dirigeants de Merck, ont préféré accumuler les profits (2 milliards de dollars tous les ans) plutôt que d'interrompre la vente d'un médicament qu'ils savaient mortel ! [17]

GlaxoSmithKline (GSK), sixième groupe pharmaceutique mondial en 2009 (33,60 milliards de dollars de chiffre d'affaires), commercialise l'Avandia (rosiglitazone), un médicament contre le diabète.

Révélés par le New-York Times, des rapports confidentiels affirment que plus de 500 attaques et 300 troubles cardiaques pourraient être évités chaque mois en retirant l'Avandia du marché. Au troisième trimestre 2009, 304 vies auraient même pu être épargnées si les diabétiques avaient opté pour une autre pilule [18].

L'Avandia « doit être retirée du marché », conclut le rapport de deux responsables de la Food and Drug Administration (FDA). Depuis 1999, des dizaines d'études scientifiques indépendantes ont abouti à la même conclusion. Mais GSK riposte par des études privées, faites par la firme, et qui « prouvent » l'innocuité de sa molécule. « […] les cadres de GSK ont tenté d'intimider des médecins indépendants [...] et cherché les moyens de minimiser le fait que les médicaments concurrents pouvaient réduire le risque cardiovasculaire », selon une enquête du Sénat US [19]. On a seulement demandé à GSK de fournir de nouvelles études, pas attendues avant… 2020 ! Le brevet de GSK sur Avandia expirant en 2012, le plus gros du risque commercial sera largement passé.

Le Tamiflu (oseltamivir) est un antiviral indiqué dans la grippe. Il est commercialisé par le groupe Roche (Hoffmann-La Roche-Genentech), troisième groupe pharma mondial en 2009 (43,10 milliards de dollars de chiffre d'affaires). Le Tamiflu est un des seuls à être efficaces contre le virus de type A/H1N1, selon l'Organisation mondiale de la Santé (OMS).

Roche (et Novartis, 4è) ont largement profité des alertes grippales (aviaire puis A/H1N1), via la vente de Tamiflu pour Roche, et de vaccins pour Novartis [20]. Grâce à l'OMS et à la Direction générale de la Santé française [21], entre autres, et grâce à leurs experts « indépendants », le Tamiflu est certainement un booster des ventes pour Roche (Tamiflu sales boost Roche profits).

Pourtant, relayé par le très sérieux British Medical Journal (BMJ), une revue qui fait figure de référence dans le monde médical :

« Un long article détaille qu'il n'existe pas de preuve solide de l'efficacité du Tamiflu. Les auteurs, des chercheurs indépendants de la Collaboration Cochrane, voulaient passer en revue tous les essais cliniques menés sur le Tamiflu – une vingtaine. Dans leur ligne de mire, l'article pivot sur lequel s'est appuyé le laboratoire Roche pour vanter les mérites de son produit auprès des autorités. Cet article répertorie dix études cliniques financées par Roche. Mais les résultats de huit d'entre elles n'ont en fait jamais été publiés par le labo. Les chercheurs ont donc réclamé les données à Roche afin de les analyser. Niet. Refusé. » [22]

Sur les maigres données scientifiques exploitables, la Cochrane Collaboration a conclu à l'absence d'impact positif du Tamiflu. Une étude non publiée de 1.447 adultes a prouvé que le Tamiflu n'était pas meilleur que le placebo [23].

Le Tamiflu, un médicament qui a fait l'objet d'énormes dépenses publiques, inefficace ? Il n'est pas seulement inefficace, mais aussi très dangereux. Ainsi le BMJ nous rappelle qu'il ne faudrait pas prescrire du Tamiflu aux enfants [24]. L'agence sanitaire britannique, la Health Protection Agency (HPA), rapportait que plus de la moitié des 248 jeunes élèves qui avaient eu de Tamiflu, après qu'un de leurs camarades eut contracté la « grippe porcine », ont souffert d'effets secondaires, tels que des nausées, des insomnies et des cauchemars. [25] Tout cela pour raccourcir d'un jour, tout au plus, la durée des symptômes relativement bénins de la grippe. Le Tamiflu a été interdit en Corée du Sud, « après les cas de suicide observés récemment au Japon. » [26]

« Cette annonce succède à celle […] faite par les autorités japonaises de l'observation de plus de 100 cas de comportements anormaux chez des Japonais ayant consommé du Tamiflu. En février dernier, puis en mars [2007, NdA], quatre adolescents se sont jetés dans le vide après une prise de Tamiflu. » [27]

De plus, l'oseltamivir augmenterait sensiblement la dangerosité du virus H1N1 in vitro (en laboratoire) [28]. Cet article révèle les pratiques amorales, non éthiques, de la société Roche, accusée de ventes illégales (Roche accused over illegal Tamiflu deals, par Andrew Jack, paru le 21 mai 2010 dans le Financial Times, édition en ligne, inscription gratuite).

« Lors d'un procès aux prud'hommes intenté par un ancien employé de Roche, John Miller, celui-ci a dévoilé certains stratagèmes douteux utilisés par la filiale britannique du laboratoire suisse. Ce dernier aurait imposé aux visiteurs médicaux des objectifs de vente de Tamiflu (l'antiviral oseltamivir) chiffrés à 15 à 20 millions de livres sterling rien que pour une période de neuf mois de l'année 2006. Les visiteurs médicaux devaient se servir de la menace d'une épidémie imminente de grippe – et des peurs générées par la grippe aviaire -, et ne devaient pas s'embarrasser des lois qui limitent aux professionnels de santé la gestion / prescription de tels médicaments. » (Voir le site Pharmacritique).

A titre d'anecdote, Le Tamiflu fut découvert en 1994 par les chercheurs de Gilead Sciences Inc, entreprise biopharmaceutique (siège est en Californie). (Source : fonzibrain.files)

Donald Rumsfeld, le secrétaire à la Défense de Georges W. Bush en 2001, en a été le directeur en 1988, le Président du Conseil d'Administration de 1997 à 2001, après que Gilead ait cédé à Roche, en 1996, tous les droits d'exploitation du Tamiflu, contre 10 % des ventes [29]. Un investisseur important de Gilead Sciences Inc fut le Groupe Rockefeller (So far this year one Rockefeller-backed company, Gilead Sciences of Foster City, Calif., has gone public.) [30].

Nujol, Lipitor, Lyrica, Vioxx, Avandia, Tamiflu, une affligeante histoire des médicaments. Cette liste non exhaustive a permis de passer en revue les principales techniques des firmes pharmaceutiques, les entreprises les plus rentables au monde, pour vendre leurs produits coûte que coûte :

« Créer de fausses revues spécialisées, intimider, discréditer les scientifiques critiques, fonder de fausses associations citoyennes ou infiltrer celles qui existent, épuiser les ressources limitées des plaignants par des procès interminables, ne fournir que des données favorables en vue d'obtenir l'autorisation de mise sur le marché [31], débaucher et corrompre des médecins pour effectuer des études bidons [32], mettre dans sa poche des professeurs reconnus dans leur spécialité pour faire apparaître les études des firmes comme indépendantes et sérieuses [33], exercer une pression agressive sur les pharmaciens, sur les chercheurs, sur les médecins dans leurs cabinets ou leurs associations, soudoyer des politiciens ou des membres importants d'organes de contrôle public (OMS [34]-[35], US Department of Health, Education and Wellfare, FDA, ministères de la Santé, Centers for Disease Control CDC, NIH [36], GEIG [37], Agence Européenne du Médicament), scinder un effet indésirable grave en plusieurs effets secondaires mineurs, utiliser des bureaux de leaders d'opinions à leur solde, ne pas fournir de références, au nom du secret commercial (sic) [38], matraquer la population par un marketing publicitaire omniprésent, inonder les revues d'encarts propagandistes réducteurs et mensongers, couper les vivres et les subsides des chercheurs, médecins, scientifiques qui ne jouent pas le jeu… »

L'expérimentation de leurs drogues sur les populations ignorantes des pays en voie de développement, comme Pfizer au Nigéria [39], ou GSK en Amérique Latine [40], de façon tout à fait illégale mais en toute impunité, finit de dresser le portrait psychopathique, non éthique et tout puissant de l'industrie pharmaceutique, quoi que ses professionnels en relation publique nous disent.

Et si tout cela ne suffit pas, la firme paie, arrose et corrompt, et le rideau est baissé, fin de la polémique !

Ainsi, Pfizer, après avoir déjà payé 894 millions de dollars d'indemnisation pour des milliers de dommages corporels liés au Bextra et au Celebrex (traitements contre l'arthrose), s'acquitta d'une amende de 2,3 milliards de dollars pour fausses déclarations concernant le Lyrica, le Zyvox et le Geodon. Pour faire la promotion de ces médicaments, Pfizer avait invité des médecins à des réunions de consultation dans des lieux de villégiature, tous frais payés, sans parler des à-côtés. « Ils avaient eu droit à des parties de golf, à des massages et autres activités. » [41]

Ces menteurs paient pour pouvoir continuer à mentir. Ainsi va le monde lorsqu'il est aux mains de psychopathes, de criminels et d'escrocs. Un monde dont les valeurs les plus élevées sont l'argent, le profit et l'apparence. Les gens, les consommateurs, semblent se réveiller. Ils sont de moins en moins dupes. Si l'on en croit une récente étude de la Henry J. Kaiser Family Foundation, 44 % des personnes interrogées révèlent une perception défavorable des entreprises pharma. Seuls les groupes pétroliers et les assureurs en soins de santé sont en moins bonne place… 70 % des sondés dénoncent le fait que les entreprises biotechnologiques sont trop focalisées sur les profits, et 80 % affirment que leurs traitements coûtent trop cher [42].

Les gens ne devraient surtout pas se rendormir et rester bien vigilants. Car si les psychopathes au pouvoir sont en guerre avec l'humanité [43], l'industrie pharmaceutique mène une guerre implacable, au budget colossal, aux manœuvres impitoyables, aux techniques innombrables, contre nos santés.

« Lorsque des chercheurs dépendent à ce point des firmes pharmaceutiques, qui assurent une part aussi importante de leurs revenus personnels, ils auront du mal à résister à cette tendance très forte qui les pousse à faire en sorte que [les essais cliniques] donnent des résultats favorables aux laboratoires. » Jerome Kassirer, ancien rédacteur en chef du New England Journal of Medicine.

« Je crois sincèrement que si toute la matière médicale pouvait être envoyée au fond de la mer, ce serait la meilleure des choses qui puisse arriver à l'humanité, et la pire qui puisse arriver aux poissons. » (« I firmly believe that if the whole materia medica could be sunk to the bottom of the sea, it would be all the better for mankind and all the worse for the fishes. ») Oliver Wendell Holmes, M. D., Professor of Medicine at Harvard.)

« Il n'est plus possible de croire les recherches publiées, ni de se fier au jugement de son médecin de famille. » Marcia Angell est professeure de médecine sociale à l'université de Harvard et ancienne rédactrice en chef du New England Journal of Medicine (NEJM).

Trouvé chez  newsoftomorrow

http://newsoftomorrow.org/

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mardi 1 février 2011

Un "revenu jeune" pour tous et sans conditions ?

A propos de www.révolution-fiscale.fr

Le buzz généré par le petit livre de Thomas Piketty, Camille Landais et Emmanuel Saez est un signe que l'intérêt général n'est finalement pas un concept moribond. Ce serait plutôt le cas de notre système fiscal, dont les défenseurs se font rares : "l'impôt sur le revenu est devenu tellement illisible qu'on ne peut plus le réformer qu'en le baissant toujours davantage. Mieux vaut donc hâter sa fin". De profundis.

Il convient de saluer d'abord la méthode. La mise à disposition simultanée d'un environnement de simulation complet (www.revolution-fiscale.fr) est une innovation très appréciable. D'autant plus que le choix - non conventionnel - de constituer un ensemble de fichiers virtuels contenant 800.000 observations est bien le seul qui permet d'accéder à l'ensemble des variables nécessaires pour simuler l'ensemble des prélèvements obligatoires . Il s'agit là d'un apport tout à fait remarquable, complémentaire de notre outil de génération de cas-types (disponible sur le site www.allocationuniverselle.com).

Attachons-nous maintenant à lire les propositions à la lumière de nos propres travaux sur le concept d'allocation universelle. Première constatation très encourageante : trois propositions du livre sont dans la droite ligne du concept que nous développons.

En termes de fiscalité familiale, nous lisons avec plaisir page 105 : "Nous présentons le scénario de réforme le plus simple, qui consiste à utiliser un crédit d'impôt qui viendrait remplacer tout à la fois le quotient familial, les allocations familiales, le complément familial, l'allocation de rentrée scolaire, l'allocation de soutien familial et la prestation accueil jeune enfant de base". Le montant proposé est de 190 € mensuel par enfant, équivalent aux 192 € que nous avions calculés en 2009 pour l'allocation universelle versées aux mineurs. Le bénéfice est bien identifié : "Ce système aurait l'avantage d'être incroyablement simple et lisible et son administration serait moins couteuse que celle du système actuel".

Concernant les jeunes de 18-25 ans, Piketty et alii proposent une réforme également "ambitieuse" page 109 : "elle consiste à donner le "revenu jeune" à tous les jeunes quelles que soient les ressources de leurs parents (…) financé par la suppression de tous les transferts actuels".

Enfin, il est proposé page 113 de rendre systématique le versement du RSA : "pour simplifier la tâche des allocataires - particulièrement celle des allocataires qui travaillent - et pour permettre de moduler automatiquement le montant des allocations mensuelles en fonction des revenus courants, l'administration pourrait utiliser les déclarations mensuelles des employeurs (et étendre ces déclarations mensuels aux autres payeurs) et verser chaque mois un montant d'allocation modulé en fonction du revenu mensuel".

Après avoir proposé - à juste titre - la fusion de l'IRPP et de la CSG, l'intégration des loyers fictifs dans l'assiette de l'impôt, la suppression de toutes les niches, l'individualisation et la retenue à la source, il ne manque plus grand-chose pour que nos trois amis adoptent le concept d'une redistribution assurée par la fiscalité, suivant la simple équation que nous proposons ( y = a x - b ) où l'impôt est calculé par prélèvement proportionnel sur l'ensemble des revenus, auquel on retranche "b", cette allocation de base reconnue à chacun sur base individuelle (400 € par adulte, 200 € par enfant), assurant ainsi la progressivité nécessaire de la fiscalité.

Que leur manque-t-il au juste ?

Une proposition centrale du livre est celle de remplacer le calcul par barème de l'impôt sur le revenu en appliquant un taux effectif à l'intégralité du revenu et non plus en taux marginal comme c'est le cas aujourd'hui. Cela entraîne une complication pratique, rendant illusoire la retenue à la source, comme décrit très justement page 81 : "Lorsqu'un employeur - ou un autre organisme - verse un revenu donné, il ne sait pas avec certitude quel taux appliquer. Par exemple, un employeur verse un salaire de 1 100 euros brut et croit devoir prélever 2 %. Mais il ignore que son salarié va toucher des salaires plus élevés en fin d'année (peut-être avec un autre employeur) ou qu'il dispose de revenus du patrimoine (peut-être une plus-value) si bien que son véritable revenu annuel sera de plus de 60 000 euros (soit 5 000 euros par mois en moyenne), auquel cas l'impôt dû est de 13 % et non de 2 %".

La solution préconisée est ubuesque : "Pour régler ces questions, l'administration fiscale doit transmettre aux employeurs le taux d'imposition total effectivement pratique l'année précédente. Et, dans tous les cas, une déclaration correctrice est faite en début d'année suivante : chacun reçoit une déclaration pré-remplie mentionnant tous les revenus et prélèvements à la source déjà effectués, et corrige le cas échéant". Un mécanisme du même ordre est proposé page 119 concernant les cotisations sociales, sans plus convaincre.

Laissons à Piketty et alii le temps de comprendre l'immense mérite que constitue un prélèvement proportionnel des revenus, complété par une allocation de base calculée et versée mensuellement par l'administration fiscale.

La deuxième faiblesse du livre est la façon étonnement naïve avec laquelle est traitée la faisabilité d'un passage d'un taux d'imposition effectif de l'ordre de 15% à 60% des revenus les plus élevés. L'argumentation développée aux pages 96-100 est dilatoire, ne parvenant pas à nous rassurer face au risque d'évasion fiscale systématique des plus riches.

En conclusion : bravo pour le travail et l'avancée convaincante sur de nombreux points. Il reste encore un petit effort à fournir pour atteindre une proposition totalement équilibrée.

Marc de Basquiat
1er février 2011

How to open local banks with local new currency but without any interest ?
How to create and share surpluses ?

https://docs.google.com/Doc?docid=0Aep0lmjLtiXzZHNrdmhteF8zNDFmcTJoNTRmdA&hl=fr

Comment créer et partager les surplus:
https://docs.google.com/viewer?a=v&pid=explorer&chrome=true&srcid=1Kxlo32UKwGx0fVhNYmkul1mr0oKs6RyIIdzKOUAlcWVv6n83Z-Cnr8lc-EHs&hl=fr

 

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