Impôts sur le revenu = des vols par astuce
Dettes nationales = supercheries, escroqueries, rapines.
Les travailleurs du pays créent les richesses. Les banques font la comptabilité financière pour permettre aux citoyens d'échanger les richesses. Cette comptabilité financière, c'est l'argent.
Les citoyens des pays sont, de droit, propriétaires des richesses qu'ils créent. Mais les banques volent aux citoyens leurs richesses. Les banques se constituent elles-mêmes propriétaires de l'argent qu'elles fabriquent. Les banques inscrivent à leur propre actif ce qui devrait être l'actif de la société, l'actif du pays. En même temps, elles inscrivent au passif du pays toutes les richesses du pays. Cette dernière opération se fait quand les banques prêtent du crédit basé sur les richesses et qu'elles inscrivent ce crédit au passif des emprunteurs, qui sont les particuliers, les entreprises et les gouvernements.
Les banques volent aux citoyens des pays l'actif de leur pays, en inscrivant cet actif à leur actif à elles et au passif du pays, dans leur comptabilité financière. Les banques volent le crédit de la société. Elles volent le crédit social.
Les banques sont des faussaires. Elles pratiquent une fausse comptabilité de l'argent. Elles volent l'actif national, l'inscrivent au passif de la nation. Cela constitue la dette nationale, et cela fait naître des taxes voleuses.
Les banques peuvent effectuer cette opération de vol, parce que tout l'argent qu'elles créent, elles le créent sous forme de prêts aux individus et aux gouvernements. Tout l'argent qui vient au monde dans le pays est créé par les banques et sous forme de dettes. C'est de l'argent-dette. Les banques devraient créer de l'argent libre de dettes, et le placer au crédit et non pas au débit de la nation.
La dette nationale est la plus grande supercherie et la plus grande escroquerie de l'histoire. La dette nationale, c'est le capital national volé par la banque. La dette nationale devrait être convertie en capital national, en capital social, en crédit social.
Et les intérêts sur la dette devraient être convertis en dividendes sociaux. De cette façon, les taxes disparaîtraient. Et les dividendes les remplaceraient. Les taxes qui sont imposées, quand on pourrait avoir un dividende.
Louis EVEN
http://vimeo.com/1711304?pg=embed&sec=1711304
D'où vient tout cet argent ?
Comment peut-il y avoir TANT d'argent à prêter ?
La réponse est... qu'il n'y en a pas vraiment.
De nos jours, L'ARGENT S'EST FAIT DETTE.
S'il n'y avait PAS DE DETTE
Il n'y aurait PAS D'ARGENT
Si tout ceci vous laisse perplexe, rassurez-vous, vous n'êtes pas le seul ou la seule.
Très peu de gens comprennent ce système, même si nous sommes tous touchés.
"Chaque fois qu'une banque fait un prêt, un nouveau crédit bancaire est créé. De l'argent tout neuf" (Graham F. Towers, gouverneur de la Banque du Canada de 1934 à 1954).
"Le procédé par lequel les banques créent de l'argent est tellement simple que l'esprit en est dégoûté" (John Kenneth Galbraith, économiste).
"Donnez-moi le contrôle sur la monnaie d'une nation, et je n'aurai pas à m'occuper de ceux qui font ses lois" (Meyer Anselm Rothschild, banquier).
"Certains des plus grands hommes des États-Unis, dans le domaine du commerce et de la production, ont peur de quelque chose. Ils savent qu'il existe quelque part une puissance si organisée, si subtile, si vigilante, si cohérente, si complète, si persuasive... qu'ils font bien, lorsqu'ils en parlent, de parler doucement" (Woodrow Wilson, ancien président des États-Unis).
« Pour reprendre une métaphore chère aux Anciens, la monnaie est à l'économie ce que le sang est au corps humain; s'il en manque, c'est l'anémie, s'il y en a trop, c'est la congestion. Il ne viendrait à l'idée de personne d'emprunter son propre sang. Alors, il revient à l'État, pour le service du bien commun, d'assurer l'offre à la demande de monnaie pour qu'enfin l'économie soit au service de l'homme » (Éric Dillies, Monnaie et souveraineté).
« Par essence, la création monétaire ex nihilo que pratiquent les banques est semblable, je n'hésite pas à le dire pour que les gens comprennent bien ce qui est en jeu ici, à la fabrication de monnaie par des faux-monnayeurs, si justement réprimée par la loi. Concrètement elle aboutit aux mêmes résultats. La seule différence est que ceux qui en profitent sont différents » ( Maurice Allais, Prix Nobel de Sciences Économiques 1988).
« La création monétaire par la Banque Centrale est par nature une dette sans créancier puisque l'État se prête à lui-même. C'est parce qu'il se croit obligé d'en avoir, qu'il emprunte à d'autres que lui-même et crée de ce fait un déficit budgétaire. C'est cette méprise — et elle seule — qui crée la dramatique situation du chômage dans laquelle nous nous débattons aujourd'hui » (Marcel Macaire, professeur d'économie à Nanterre).
« On va chercher Allais en 1987, après le krach, on le coiffe d'un chapeau pointu de devin, et on le ressort en 1998. Il dit la même chose, de bon sens, "que les arbres ne montent pas jusqu'au ciel". Il ne prévoit rien : il fait de remarquables comparaisons historiques, point. Il donne la même analyse limpide de la crise de 1929, mais peu importe ; ce n'est pas sa capacité d'analyse historique que l'on met en scène, mais son coté vieux sage, vaguement sorcier et un peu loufoque : museler le système bancaire, interdire aux banques de créer de la monnaie, dire que la monnaie bancaire est de la « fausse monnaie », empêcher les banques de prêter à plus long terme que leurs fonds… si les gens lisaient vraiment ce qu'à écrit Allais, ils seraient stupéfaits ! Allais n'est pas un expert, mais un grand économiste… » (Bernard Maris dans « Lettre ouverte aux gourous de l'économie qui nous prennent pour des imbéciles).
« Je suis en train de découvrir le détail d'une situation financière incroyable. Vous croyez que la monnaie est créée par l'État ? Vous vous trompez : ce sont les banques privées qui créent la monnaie, et qui en perçoivent le prix (le taux d'intérêt). Si c'était l'État qui créait la monnaie, la prêtait aux banques et en percevait l'intérêt, alors cet intérêt (environ 280 milliards d'euros pour l'Europe en 2006 ? ) pourrait financer les services publics au lieu de partir vers les paradis fiscaux. L'État (c'est-à-dire nous tous) a perdu le droit de créer la monnaie et ce sont des banques privées à qui nos soi-disant "représentants" ont abandonné ce pouvoir décisif. Vous pensez que la monnaie est un outil qui sert l'intérêt général ? Vous vous trompez : la monnaie est devenu (discrètement) un outil qui sert d'abord des intérêts privés » (Etienne Chouard).
« Dans le cas de la création monétaire l'avantage serait toujours pour ceux qui émettraient la monnaie de crédit ; et comme le gouvernement représente la nation, la nation aurait épargné l'impôt, si elle, et non la banque, avait fait elle-même l'émission de cette monnaie... Le public aurait un intérêt direct à ce que ce fût l'État, et non une compagnie de marchands ou de banquiers, qui fit cette émission » ( David Ricardo, Principes d'économie politique).
« La puissance d'argent fait sa proie de la nation en temps de paix et conspire contre elle en temps d'adversité. Elle est plus despotique que la monarchie, plus insolente que l'autocratie, plus égoïste que la bureaucratie. (...) Les groupes financiers et industriels sont devenus tout puissants, il s'ensuivra une ère de corruption aux postes élevés et la puissance d'argent du pays cherchera à prolonger son règne en utilisant les préjugés du peuple jusqu'à ce que la fortune soit concentrée en un petit nombre de mains et la république détruite » (Abraham Lincoln).
« Qu'est-ce que le crédit, sinon le simple pouvoir d'acheter en échange d'une promesse de payer ? La fonction d'une banque ou d'un banquier est d'acheter des dettes avec des promesses à payer.... La pratique seule du crédit amène ainsi par l'abus qu'on est porté à en faire, aux crises commerciales.... Le crédit est le principal moteur, il donne l'impulsion ; c'est lui qui, par la signature d'un simple effet de commerce, d'une lettre de change, donne une puissance d'achat qui parait illimitée » (Clément Juglar, Les crises commerciales).
« Le fait de faire revivre maintenant l'ancien système de couverture intégrale des dépôts (...) empêcherait effectivement l'inflation et la déflation suscitées par notre système actuel, c'est-à-dire stopperait effectivement la création et la destruction irresponsables de monnaie par nos milliers de banques commerciales qui agissent aujourd'hui comme autant d'instituts privés d'émission (...). L'essence du plan 100 % monnaie est de rendre la monnaie indépendante des prêts, c'est à dire de séparer le processus de création et de destruction de monnaie du prêt aux affaires » (Irving Fisher, 100 % money).
« Le jugement éthique porté sur le mécanisme du crédit bancaire s'est profondément modifié au cours des siècles. (...) À l'origine, le principe du crédit reposait sur une couverture intégrale des dépôts. (...) Ce n'est que vers le XVII e siècle, avec l'apparition des billets de banque, que les banques abandonnèrent progressivement ce principe. Mais ce fut dans le plus grand secret et à l'insu du public » (...) «En abandonnant au secteur bancaire le droit de créer de la monnaie, l'Etat s'est privé en moyenne d'un pouvoir d'achat annuel représentant environ 5,2 % du revenu national » (Maurice Allais, Prix Nobel d'économie 1988, La réforme monétaire 1976).
« Je prétends que, dans la conjoncture actuelle, à condition d'entourer l'opération de garde-fous, l'émission de monnaie ex nihilo par la Banque de France, sans qu'existe aucune créance en contrepartie, est indispensable pour sortir notre économie de son anémie. (...) Il s'agirait de fournir aux ménages un pouvoir d'achat supplémentaire, qui n'alourdisse en rien les coûts de production. (...) Cette monnaie ne pourrait être remise au Trésor, ce que les accords européens interdisent. (...) C'est donc directement aux habitants du territoire français que la monnaie créée devra aller. (...) Le mot capitation désignant un impôt uniforme prélevé par tête d'habitant, l'allocation versée serait une capitation inversée. (...) 1000 ou 2000 frs. seraient versés à toute personne résidente, quel que soient son âge et ses revenus. La Banque (centrale) réserverait le droit de renouveler ou non l'opération si la conjoncture le demande » (Jean-Marcel Jeanneney, Fondateur de l'OFCE, Écoute la France qui gronde - 1995)
« On pourrait avoir une productivité plus grande des secteurs tertiaires, et générer en aval du pouvoir d'achat, si l'on avait plus de demande en amont. Mais la dite demande suppose déjà du pouvoir d'achat. Il faut donc qu'intervienne une demande exogène pour que reprenne la croissance, et que (...) lorsqu'une injection de monnaie de la Banque centrale paraît opportune au Conseil de la Politique Monétaire, que les modalités en soient étudiées entre ce dernier et le Gouvernement, étant entendu qu'elles pourraient viser à stimuler la demande privée aussi bien que la demande publique » (Jacques Méraud, Fondateur du CERC, Le Monde du 5/08/1997 et du 02/09/97).
« Il est aujourd'hui, pour le moins paradoxal de constater que, « lors que pendant des siècles l'Ancien Régime avait préservé jalousement le droit de l'Etat de battre monnaie et le privilège exclusif d'en garder le bénéfice, la République démocratique a abandonné pour une grande part ce droit et ce privilège à des intérêts privés » (Maurice Allais, Nobel d'économie 1988, L'impôt sur le capital et la réforme monétaire, 1976).
« Si la population comprenait le système bancaire, je crois qu' il y aurait une révolution avant demain matin » (Henry Ford, industriel).
« Je crois que les institutions bancaires sont plus dangereuses pour nos libertés qu'une armée debout. Celui qui contrôle l'argent de la nation contrôle la nation » (Thomas Jefferson, troisième président des Etats-Unis).
Salmon P. Chase, Secrétaire du Trésor sous Lincoln, déclara publiquement, peu après le passage de la loi :
« Ma contribution au passage de la loi des Banques Nationales fut la plus grande erreur financière de ma vie. Cette loi a établi un monopole qui affecte chaque intérêt du pays. Cette loi doit être révoquée, mais avant que cela puisse être accompli, le peuple devra se ranger d'un côté, et les banques de l'autre, dans une lutte telle que nous n'en avons jamais vue dans ce pays ».
Et à propos de la décision de Lincoln (alors Président des Etats-Unis) d'émettre une monnaie sans intérêts, Lord Goschen, porte-parole des Financiers, écrivit dans le London Times : « Si cette malveillante politique financière provenant de la République nord-américaine devait s'installer pour de bon, alors, ce gouvernement fournira sa propre monnaie sans frais. Il s'acquittera de ses dettes et sera sans aucune dette. Il aura tout l'argent nécessaire pour mener son commerce. Il deviendra prospère à un niveau sans précédent dans toute l'histoire de la civilisation. Ce gouvernement doit être détruit, ou il détruira toute monarchie sur ce globe ».
Venant d'Amérique, Benjamin Franklin, en 1750, s'étonnait de voir une foule de chômeurs et de mendiants dans les rues de Londres. Il décrivait ainsi les colonies d'Amérique: « Impossible de trouver de population plus heureuse et plus prospère sur toute la surface du globe… Dans les colonies, nous émettons notre propre papier-monnaie, nous l'appelons Colo Script, et nous en émettons assez pour faire passer facilement tous les produits des producteurs aux consommateurs… Nous contrôlons notre pouvoir d'achat et nous n'avons aucun intérêt à payer à personne ».
Un membre du Congrès, Charles A. Lindbergh déclara : « Cette loi établit le plus gigantesque trust sur terre. Lorsque le Président Wilson signera ce projet de loi, le gouvernement invisible du Pouvoir Monétaire sera légalisé... Le pire crime législatif de tous les temps est perpétré par cette loi sur la banque et le numéraire ».
Vincent Auriol, 1934, ministre des finances du Front Populaire : « Les banques je les ferme, les banquiers je les enferme ! »
1976, le ministre Raymond Barre prend une décision historique : il décide que l'État paiera les intérêts de sa dette au-delà du taux d'inflation. Il dit : « Je place l'État au service des créanciers, des épargnants. Finie l'inflation qui érode le capital. Vive les rentiers ! »
"Nous sommes reconnaissants au Washington Post, au New York Times, Time Magazine et d'autres grandes publications dont les directeurs ont assisté à nos réunions et respecté leurs promesses de discrétion depuis presque 40 ans. Il nous aurait été impossible de développer nos plans pour le monde si nous avions été assujettis à l'exposition publique durant toutes ces années. Mais le monde est maintenant plus sophistiqué et préparé à entrer dans un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d'une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est assurément préférable à l'autodétermination nationale pratiquée dans les siècles passés" (David Rockefeller, Président du Groupe de Bilderberg et de la Commission Trilatérale. Président du CFR. Propos tenus à la rénion du Groupe de Bilderberg à Baden Baden en 1991).
"Quelque chose doit remplacer les gouvernements, et le pouvoir privé me semble l'entité adéquate pour le faire" (David Rockefeller, interview dans Newseek en février 1999).
"Le monde est gouverné par des personnages très différents de ce qui est imaginé par ceux qui ne sont pas derrière le rideau" (Benjamin Disraeli, Premier Ministre Britannique de 1874 à 1880).
"Le monde se divise en trois catégories de gens : un très petit nombre qui fait se produire les événements, un groupe un peu plus important qui veille à leur exécution et les regarde s'accomplir, et enfin une vaste majorité qui ne sait jamais ce qui s'est produit en réalité" (Nicholas Murray Butler, Président de la Pilgrim Society, membre de la Carnegie, membre du CFR (Council on Foreign Relations)).
"En politique, rien n'arrive par hasard. Chaque fois qu'un évènement survient, on peut être certain qu'il avait été prévu pour se dérouler ainsi" (Franklin D. Roosevelt, Président des Etats-Unis de 1932 à 1945).
Le 1er mai 2007, le président du Venezuela, Hugo Chavez a annoncé son intention de retrait de son pays de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international avec ces mots : « Il vaut mieux que nous en sortions avant qu'on nous ait pillés » et après avoir procédé en 2006 au remboursement total de la dette extérieure vénézuellienne.
Dix jours avant d'être assassiné, John Kennedy, dans un discours fait à l'Université Columbia le 12 novembre 1963, déclarait: "La direction du Bureau du Président a été utilisée pour fomenter un complot pour anéantir la liberté des Américains, et avant que je ne quitte le Bureau, je dois informer les citoyens de ces conditions." Quelques mois plus tôt, le 27 avril 1961, dans son discours devant l'association de la presse américaine (American Newspaper Publishers), il évoquait l'existence de sociétés secrètes agissant dans l'ombre, ne rendant de comptes à personne...
"Nous aurons un gouvernement mondial, que cela plaise ou non. La seule question sera de savoir si il sera créé par conquête ou par consentement" (Paul Warburg).
"Nous sommes à la veille d'une transformation globale. Tout ce dont nous avons besoin est la bonne crise majeure, et les nations vont accepter le Nouvel Ordre Mondial" (David Rockefeller).
"Je suis inquiet pour la sécurité de notre belle nation; pas tant à cause d'une quelconque menace de l'extérieur, mais d'avantage à cause des forces incidieuses qui y opèrent de l'intérieur" (Général Douglas MacArthur, Commandant suprême des forces alliées dans le Pacifique durant la Seconde Guerre mondiale).
"Le but des Rockefeller et de leurs alliés est de créer un gouvernement mondial unique combinant le Supercapitalisme et le Communisme sous la même bannière, et sous leur contrôle. (...) Est-ce que j'entends par là qu'il s'agit d'une conspiration? Oui, en effet. Je suis convaincu qu'il y a un tel complot, d'envergure internationale, en planification depuis plusieurs générations, et de nature incroyablement maléfique" (Lawrence Patton McDonald, Congressiste américain tué dans l'attaque d'un vol de la Korean Airlines. Message public diffusé en 1976).
"Seuls les plus petits secrets ont besoin d'être protégés. Les plus gros sont gardés par l'incrédulité publique" (Marshall McLuhan, Auteur et chercheur canadien, 1911-1980).
"Tous les êtres humains trébuchent un jour sur la vérité. La plupart se relèvent rapidement, secouent leurs vêtements et retournent à leurs préoccupations, comme si de rien n'était" (Winston Churchill, Premier Ministre de la Grande-Bretagne de 1940 à 1945 et de 1951 à 1955).
"L'ennemi numéro 1 de tout État est l'homme qui est capable de penser par lui-même sans considération de la pensée unique. Presque inévitablement il parviendra alors à la conclusion que l'État sous lequel il vit est malhonnête, insensé et insupportable, ainsi, si cet homme est idéaliste il voudra le changer. S'il ne l'est pas, il témoignera suffisamment de sa découverte pour générer la révolte des idéalistes contre l'État" (Henry Louis Mencken, Journaliste, écrivain et libre penseur, l'un des écrivains américains les plus influents du 20e siècle).
"Notre grande nation industrielle est contrôlée par leur système de crédit. Notre système de crédit est privatisé, c'est pourquoi la croissance du pays ainsi que toutes nos activités sont aux mains d'une poignée d'hommes qui, si nécessaire, pour des raisons qui leur incombe, peuvent geler, vérifier et détruire l'authenticité de la liberté économique. Nous sommes devenus un des plus mal gouvernés, des plus contrôlés et des plus soumis des gouvernements dans le monde civilisé. Il ne s'agit plus d'un gouvernement libre d'opinion ni d'un gouvernement de conviction élu à la majorité mais d'un gouvernement soumis à la volonté et à la fermeté d'un petit groupe d'hommes dominants" (Thomas Woodrow Wilson, 28ème président des Etats-Unis).
" Un système bancaire mondial est en train de se mettre en place, un super-état contrôlé par des banquiers internationaux travaillant ensemble à l'asservissement du monde pour leur propre plaisir. La FED a usurpé le gouvernement" (Louis Mc Fadden, député américain, assassiné).
" Ce fut un événement minutieusement préparé, les banquiers internationaux ont créé une situation de détresse dont ils ressortiraient les maîtres du monde entier" (Louis Mc Fadden, à propos du crack boursier et de la dépression de 1929).
"Je suis opposé au système bancaire à réserves fractionnaires, qui repose sur un mensonge : "Nous vous paierons des intérêts sur votre argent que nous avons prêté à quelqu'un d'autre et que vous pouvez retirer à tout instant"" (Gary North).
"Si je vous ai semblé excessivement clair, c'est que vous devez avoir mal compris ce que j'ai dit" (Alan Greenspan devant les membres du Congrès américain en 1987).
"Toutes les banques centrales servent uniquement à piller la population au profit de cartels d'intérêts politiquement organisés" (Guido Hülsmann).
"Loin de revenir en arrière dans la déréglementation ou la libéralisation de l'économie et des marchés financiers (dévoyés par la dette publique), c'est en poussant la déréglementation jusqu'au "central banking" et en rétablissant un régime d'émission monétaire contractuel dans plusieurs pôles économiques mondiaux qu'on contribuera à rétablir un point fixe sur lequel pourra s'appuyer le développement économique et une croissance financière normalisée" (Bernard Cherlonneix, Un seul coupable : le dirigisme monétaire, octobre 1998).
"Pourquoi acceptons-nous sans sourciller qu'un petit groupe de gens du conseil de la Réserve Fédérale exerce tant de pouvoir sur notre bien-être économique ? Le contrôle centralisé et par monopole de notre monnaie est-il même compatible avec une soi-disant économie de marché ? (...) La plus grande menace qui pèse sur les États-Unis aujourd'hui, ce sont les politiques fiscales désastreuses de notre propre gouvernement, marquées par un déficit de dépense éhonté et une dévaluation de la monnaie par la Réserve Fédérale. C'est cette lame à double tranchant – le Congrès dépensant plus que ce qu'il peut rentrer d'impôts ou emprunter, et la Fed imprimant de la monnaie pour compenser la différence – qui menace de nous appauvrir en détruisant toujours davantage la valeur de nos dollars. (...) Les hommes politiques dépensiers aiment peut-être avoir un système qui crée toujours plus de monnaie pour financer leurs projets, mais nous avons de bonnes raisons de nous inquiéter pour notre système monétaire et la valeur future de nos dollars" (Ron Paul).
"Quand l'argent d'un gouvernement dépend des banques, ce sont elles et non les chefs du gouvernement qui contrôlent la situation" (Napoleon Bonaparte).
"L'histoire relate que les banquiers ont utilisé toutes sortes d'abus, intrigues, supercheries et violences possibles pour obtenir le contrôle des gouvernements en contrôlant l'argent et son émission" (James Madison).
"Quelques-uns croient même que nous (la famille Rockefeller) faisons partie d'une cabale secrète travaillant contre les meilleurs intérêts des É-U, caractérisant ma famille et moi en tant qu'internationalistes et conspirant avec d'autres autour de la Terre pour construire une politique globale plus intégrée ainsi qu'une structure économique – un seul monde si vous voulez. Si cela est l'accusation, je suis coupable et fier de l'être" (David Rockefeller, MEMOIRES, page 405).
"Le système bancaire moderne fabrique de l'argent à partir de rien.
Ce processus est peut-être le tour de dextérité le plus étonnant qui fut jamais inventé.
La banque fut conçue dans l'iniquité et est née dans le pêché.
Les banquiers possèdent la Terre. Prenez la leur, mais laissez-leur le pouvoir de créer l'argent et, en un tour de mains, ils créeront assez d'argent pour la racheter.
Ôtez-leur ce pouvoir, et toutes les grandes fortunes comme la mienne disparaîtront et ce serait bénéfique car nous aurions alors un monde meilleur et plus heureux.
Mais, si vous voulez continuer à être les esclaves des banques et à payer le prix de votre propre esclavage laissez donc les banquiers continuer à créer l'argent et à contrôler les crédits" (Sir Josiah Stamp, directeur de la Banque d'Angleterre de 1928 à 1941, 2ème fortune d'Angleterre).
"Je prévois une ère d'instabilité politique et financière dont on peut espérer qu'elle sera suivie de l'émergence d'un nouvel ordre mondial" (George Soros dans son livre « La vérité sur la crise financière », page 204).
Ce long métrage d'animation, dynamique et divertissant, de l'artiste et vidéographe Paul Grignon, explique les effets magiques mais pervers du SYSTÈME ACTUEL D'ARGENT-DETTE dans des termes compréhensibles pour tous
Nous vous présentons le chef d'oeuvre de Paul Grignon pour la première fois disponible avec une bande son française et textes en français !
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