A much anticipated and timely encyclical. How to implement it ?

mercredi 26 mai 2010

U.E. La retraite à 50 ans avec 9.000 euros par mois !

UN SCANDALE ! ! !  A SAVOIR AVANT LA « TONTE » DE 2010

 
Toujours plus d'impôts, de taxes, d'amendes, de primes, de frais, d'émoluments, de coupes sombres pour payer leurs bonus et primes indécents qui achètent leurs consciences et leurs silences.


Vous avez remarqué que nos politiques se battent comme des fous pour rentrer dans l'administration européenne Et pourquoi ?

La retraite à 50 ans avec 9.000 euros par mois pour les fonctionnaires de l'UE a été approuvée !!!!

Cette année, 340 fonctionnaires partent à la retraite anticipée à 50 ans avec une
pension de 9.000 Euros par mois. Oui, vous avez bien lu !!!

Afin d'aider l'intégration de nouveaux fonctionnaires des nouveaux états membres de
l'UE (Pologne, Malte, pays de l'Est...), les fonctionnaires des anciens pays membres
(Belgique, France, Allemagne..) recevront de l'Europe un pont d'or pour partir à la
retraite. Rappelez-vous qu'ils ne sont pas élus, mais fonctionnaires assurés de
réintégrer leur administration d'origine en cas de révocation.

POURQUOI ET QUI PAIE CELA ?

Vous et moi travaillons ou avons travaillé pour une pension de misère, alors que
ceux qui votent les lois se font des cadeaux dorés.
La différence est devenue trop importante entre le peuple et les "dieux de l'Olympe"

!!! RÉAGISSONS par tous les moyens en commençant par divulguer ce message à tous les Européens.

Les technocrates européens jouissent de véritables retraites de nababs... Même
les parlementaires qui, pourtant, bénéficient de la "Rolls" des régimes spéciaux, ne
reçoivent pas le tiers de ce qu'ils touchent... C'est dire ! Giovanni Buttarelli, qui
occupe le poste de "contrôleur adjoint de la protection des données", aura acquis
après seulement 1 an et 11 mois de service (en novembre 2010), une retraite de 1
515 € / mois. L'équivalent de ce que touche, en moyenne, un salarié français du
secteur privé après une carrière complète (40 ans). Son collègue, Peter Hustinx,
vient de voir son contrat de cinq ans renouvelé. Après 10 années, lui aura droit à
près de 9 000 € de retraite / mois.
Roger Grass, greffier à la Cour de justice européenne, va toucher 12 500 € de
retraite par mois.
Pernilla Lindh, juge au Tribunal de première instance, 12 900 € / mois.
Damaso Ruiz-Jarabo Colomer, avocat général, 14 000 € / mois.
Consultez la liste :
http://www.kdomailing.
com/redirect.asp?numlien=1276&numnews=1356&numabonne=62286
Pour eux, c'est le jackpot. En poste depuis le milieu des années 1990, ils sont
assurés de valider une carrière complète et, donc, d'obtenir le maximum : 70 % du
dernier salaire. Car, c'est à peine croyable... Non seulement leurs pensions
crèvent les plafonds mais il leur suffit de 15 années et demie pour valider une
carrière complète alors que pour vous, comme pour moi, il faut se tuer à la tâche
pendant 40 ans et, bientôt, 41 ans.
Face à la faillite de nos systèmes de retraite, les technocrates de Bruxelles
recommandent l'allongement des carrières : 37,5 ans, 40 ans, 41 ans (en 2012),
42 ans (en 2020), etc. Mais, pour eux, pas de problème, le taux plein c'est 15,5
ans... De qui se moque-t-on ?
A l'origine, ces retraites de nababs étaient réservées aux membres de la
Commission européenne puis, au fil des années, elles ont également été
accordées à d'autres fonctionnaires. Maintenant, ils sont toute une armée à en
profiter : juges, magistrats, greffiers, contrôleurs, médiateur, etc.
Mais le pire, dans cette affaire, c'est qu'ils ne cotisent même pas pour leur super
retraite. Pas un centime d'euro, tout est à la charge du contribuable...
Nous, nous cotisons plein pot toute notre vie et, au moindre retard de paiement,
c'est la déferlante : rappels, amendes, pénalités de retard, etc.
Aucune pitié. Eux, ils (se) sont carrément exonérés. On croit rêver !
Rendez-vous compte, même les magistrats de la Cour des comptes européenne
qui, pourtant, sont censés "/contrôler si les dépenses de l'Union européenne sont
légales, faites au moindre coût et pour l'objectif auxquelles elles sont destinées.../
", profitent du système et ne paient pas de cotisations. Et que dire de tous ces
technocrates qui ne manquent pas une occasion de jouer les "gendarmes de
Bruxelles" et ne cessent de donner des leçons d'orthodoxie budgétaire alors qu'ils
ont les deux mains, jusqu'aux coudes, dans le pot de confiture ? A l'heure où
l'avenir de nos retraites est gravement compromis par la violence de la crise
économique et la brutalité du choc démographique, les fonctionnaires européens
bénéficient, à nos frais, de pensions de 12 500 à 14 000 € / mois, après seulement
15 ans de carrière et sans même cotiser... C'est une pure provocation !
Mon objectif est d'alerter tous les citoyens des états membres de l'Union
Européenne. Ensemble nous pouvons créer un véritable raz de marée.
Il est hors de question que les technocrates européens continuent à jouir, à nos
frais et en toute impunité, de telles retraites. Nous allons leur remettre les pieds
sur terre.

Sauvegarde Retraites a réalisé une étude précise et très documentée qui prouve
par "A+B" l'ampleur du scandale. Elle a déjà été reprise par les médias.

http://www.lepoint.fr/actualites-economie/2009-05-19/revelations-les-retraites-enor-
des-hauts-fonctionnaires-europeens/916/0/344867
 
Diffusons, diffusons massivement auprès de tous les relais de vingt-sept
pays de l'Union Européenne, il en restera bien quelque chose !!!

Etats escrocs à la botte des banquiers.

Vous croyez que la monnaie est créée par l'État ?

Vous vous trompez : dans la plupart des pays, ce sont les banques privées qui créent 99,9 % de la monnaie sous forme de crédits, et qui en perçoivent le prix (l'intérêt).

http://versdemain.org/images/Boeuf2.gif

Si c'était l'État qui créait la monnaie, il pourrait l'investir directement lui-même (sans devoir payer le moindre intérêt jusqu'au remboursement) ; il pourrait aussi prêter cette monnaie nouvelle aux banques (charge à elles de la prêter à leur tour) et en percevait le premier intérêt (des milliards d'euros), ce qui pourrait aussi financer les services publics, au lieu de garnir des poches de soie au prix d'un déficit paralysant pour l'État.

L'État a perdu le droit de battre monnaie et ce sont des banques privées à qui nos soi-disant "représentants" ont abandonné ce pouvoir décisif.
 Vous pensez que la monnaie est un outil qui sert l'intérêt général ?

Vous vous trompez : la monnaie est devenu un outil qui sert d'abord des intérêts privés".

La grande question, où partent tous ces milliers de milliards ? Pour qui ? Pourquoi ? Comment ? Qui contrôle vraiment cette folie ?

 

Est-ce la fin
du système financier actuel?

C'est la plus récente circulaire de Vers Demain, que vous pouvez commander gratuitement pour distribuer autour de vous (les dons sont les bienvenus pour couvrir les frais de poste pour vous envoyer les circulaires). En plus de l'article d'Alain Pilote en première page sur la fin du système financier actuel, il y a deux pages sur la future union nord-américaine, une page sur l'esclavage de la race humaine par la micropuce, une page sur l'importance d'une monnaie nationale, un article de Louis Even sur de l'argent sans intérêt pour développer le pays, et Mgr Schooyans qui dénonce le Nouvel Ordre Mondial.




http://www.dailymotion.com/video/xddpgs_etienne-chouard-contre-le-traite-de_news

Etats escrocs à la botte des banquiers.

Vous croyez que la monnaie est créée par l'État ?

Vous vous trompez : dans la plupart des pays, ce sont les banques privées qui créent 99,9 % de la monnaie sous forme de crédits, et qui en perçoivent le prix (l'intérêt).

http://versdemain.org/images/Boeuf2.gif

Si c'était l'État qui créait la monnaie, il pourrait l'investir directement lui-même (sans devoir payer le moindre intérêt jusqu'au remboursement) ; il pourrait aussi prêter cette monnaie nouvelle aux banques (charge à elles de la prêter à leur tour) et en percevait le premier intérêt (des milliards d'euros), ce qui pourrait aussi financer les services publics, au lieu de garnir des poches de soie au prix d'un déficit paralysant pour l'État.

L'État a perdu le droit de battre monnaie et ce sont des banques privées à qui nos soi-disant "représentants" ont abandonné ce pouvoir décisif.
 Vous pensez que la monnaie est un outil qui sert l'intérêt général ?

Vous vous trompez : la monnaie est devenu un outil qui sert d'abord des intérêts privés".

La grande question, où partent tous ces milliers de milliards ? Pour qui ? Pourquoi ? Comment ? Qui contrôle vraiment cette folie ?

 

Est-ce la fin
du système financier actuel?

C'est la plus récente circulaire de Vers Demain, que vous pouvez commander gratuitement pour distribuer autour de vous (les dons sont les bienvenus pour couvrir les frais de poste pour vous envoyer les circulaires). En plus de l'article d'Alain Pilote en première page sur la fin du système financier actuel, il y a deux pages sur la future union nord-américaine, une page sur l'esclavage de la race humaine par la micropuce, une page sur l'importance d'une monnaie nationale, un article de Louis Even sur de l'argent sans intérêt pour développer le pays, et Mgr Schooyans qui dénonce le Nouvel Ordre Mondial.




http://www.dailymotion.com/video/xddpgs_etienne-chouard-contre-le-traite-de_news

mardi 25 mai 2010

Et si la Suisse montrait la voie ?

Des sociétés secrètes centralisatrices

Elles veulent détruire les nations et donc les États et obtenir un seul gouvernement mondial absolu...

Ils veulent fermer plus de la moitié des hôpitaux ( sic), planifient des queues pour tous les services publics et des euthanasies actives des personnes "inutiles" mais livrent des milliards (sic)  de bonus aux banquiers de New-York...

Voici un courrier reçu de France...

...Oui dans ce message  ci-dessous, il y a pas mal d'éléments et de thèmes qui ont été, et sont abordés, par notre Ami Santiago R. Alonso de Buenos-Aires dont je reçois par internet la revue mensuelle: Patria Argentina. Il fut, un haut officier de l'armée argentine et a été, c'est presque sûr, dans un service du renseignement. De même il fut en poste au Brésil (outre l'anglais, il parle très bien le portugais). Ces données sont toujours à prendre en compte, sans quoi, encore davantage de chose ne "collent" pas dans l'actualité et on se demande encore "naïvement": pourquoi des crises? Quand ce ne sont pas des guerres....
 
On peut voir ceci qui vient d'ailleurs de Horizons et Débats, peut-être tu connais déjà: 
 
http://www.mecanopolis.org/?p=17240

Et si la Suisse montrait la voie ?

Article placé le 20 mai 2010, par Frédéric Courvoisier (Genève)

Le FMI et la Banque mondiale se déve­loppent considérablement et se voient attribuer de nouvelles missions (1). Va-t-on créer une Banque globale? Les finances vont-elles être en­core plus centralisées? Va-t-on même créer une nou­velle monnaie? Que va-t-il advenir de l'euro? Dans cet article, nous présentons la Banque nationale suisse et ses préoccupations. Un retour sur l'histoire suisse nous montre l'ancrage des finances dans la population et nous amène à nous demander si une centralisation accrue au niveau mondial est vraiment la solution qui convient aux pro­blèmes actuels de la finance.

chparlement

La Banque nationale suisse (BNS) est une société anonyme. 53,5% des actions sont détenues par les cantons et les banques canto­nales et les autres par des particuliers. La Confédération n'en possède pas.

Si ses actions se négocient en Bourse, la BNS n'est pas comparable à une société anonyme privée. Son organisation et ses missions sont fixées dans la Constitution et dans la Loi fédérale sur la Banque nationale. Deux tiers des profits reviennent aux cantons et un tiers à la Confédération.

Il y a deux semaines a eu lieu son Assemblée générale annuelle qui, en raison de la situation tendue du système financier et de la situation particulière de la Suisse, a suscité un grand intérêt. Le président nouvellement élu, Philipp M. Hildebrand, a analysé la situation actuelle et a envisagé l'avenir. Nous évoquerons et commenterons ici les points essentiels de son exposé.

Problématique des banques «too big to fail»

Hildebrand a détaillé les dangers que représentent pour la Suisse les deux grandes banques mondialisées. Elles sont devenues si importantes qu'une éventuelle faillite causerait de sérieux dommages à notre économie (cf. Horizons et débats du 19/4/10). Hildebrand a esquissé une stratégie propre à résoudre le problème à l'avenir. Voici un extrait de son exposé:

«Les exigences en matière de fonds propres doivent être suffisamment strictes pour amener les banques à assumer les risques qu'elles reportaient jusqu'ici sur la collectivité. Des exigences accrues peuvent en outre constituer une base importante pour un modèle commercial d'avenir axé sur la durabilité. Dans les domaines où les établissements financiers suisses sont traditionnellement forts, les banques bien capitalisées ont un avantage concurrentiel certain. En outre, la Banque nationale est d'avis que l'organisation et la structure juridique des grandes banques doivent être adaptées afin de permettre une liquidation en bonne et due forme en cas de crise extrême. En particulier, elles doivent pouvoir poursuivre leurs activités d'importance systémique sans que l'on soit obligé de sauver le groupe tout entier.

Au plan international également, des mesures sont proposées pour s'attaquer aux problèmes du too big to fail. Ces développements relatifs à la réglementation internationale doivent être considérés sous l'angle de la compétitivité globale de notre place financière. Les trente derniers mois l'ont toutefois montré de ma­nière très éloquente: en cas de crise, chaque pays doit assumer lui-même la responsabilité pour ses banques. Lors de l'élaboration et de la mise en œuvre des mesures sur le plan national, il s'agira aussi de prendre en compte les particularités du pays. En Suisse, la problématique du too big to fail est particulièrement aiguë. C'est pourquoi un swiss finish s'impose.»

Politique monétaire

Ensuite, Hildebrand a parlé de politique monétaire. Il a insisté sur le fait que la BNS prenait des mesures pour stopper la baisse de l'euro. Quiconque étudie les documents de la Banque comprend de quoi il s'agit: Au cours du seul dernier trimestre, la BNS a acheté pour 40 milliards d'euros, ce qui représente deux tiers de ses réserves monétaires. Pourquoi?

Grâce à ces achats massifs d'euros, Hildebrand entend aider les exportations. Environ 60% des exportations vont vers l'UE. Il y a encore quelques années, un exportateur obtenait 1 franc 60 pour un euro gagné à l'étranger. Il y a quelques mois ce n'était plus que 1 franc 50 et maintenant 1 franc 42. Il faut stopper cette tendance. Cependant les exportations ont déjà souvent été confrontées aux inconvénients d'un franc suisse fort. En 1973, un exportateur obtenait 4 francs 37 pour un dollar. Aujourd'hui, le franc vaut presque un dollar. Au cours des dernières décennies, cette dépréciation a touché égale­ment d'autres monnaies, par exemple la livre anglaise. Cette chute a pu être ralentie passagèrement mais pas stoppée. Aux dernières nouvelles, la BNS a cessé d'acheter des euros. Le cours est aussitôt descendu à 1 franc 40.

Si la BNS achète des euros avec des francs nouvellement créés, la masse monétaire en circulation augmente. Hildebrand veut ainsi lutter contre la déflation intérieure, c'est-à-dire la baisse des prix. Pourquoi? Une baisse des prix n'est pas en soi une mauvaise chose, mais elle peut devenir un problème quand les gens réduisent collectivement leur consommation, par exemple parce qu'ils s'attendent à une nouvelle baisse l'année suivante. Toute­fois ce phénomène ne s'observe guère actuellement.

Un franc fort a également des avantages. Il a toujours incité à offrir des produits et des services d'excellente qualité et cela sans relâcher ses efforts. Comme le montre l'état actuel de l'économie, le handicap du franc fort n'a pas nui à long terme à l'économie. En outre, les produits d'importation sont moins chers. Cela aide aussi l'économie d'exportation parce qu'elle peut acheter moins cher à l'étranger les matières premières qu'elle transforme. 80% des importations viennent de l'UE. Notre plus important parte­naire commercial est l'Allemagne avec un tiers du total des importations et un cinquième des exportations.

Aujourd'hui, il est évident pour chacun que les risques du monde financier sont devenus plus divers et, d'une manière générale, plus importants. Les réserves de la BNS sont-elles suffisantes?

Bradage des réserves d'or il y a dix ans

En 2000, la BNS a commencé à vendre la moitié de ses réserves stratégiques d'or. Elle en a vendu quelque 1300 tonnes pour un prix moyen de 16 000 francs le kilo. En 2007, elle en a encore vendu 250 tonnes. A l'époque, le président de la Confédération Arnold Koller et le président de la BNS Hans Meyer avaient déclaré que l'or était «excédentaire» et qu'on n'en avait plus besoin. L'article sur la monnaie de la nouvelle Constitution, dont on prétendait qu'elle ne contenait rien de nouveau, ouvrit la voie aux ventes. Elles ont été accompagnées de deux votations populaires: finalement, les réserves d'or faisaient partie de la richesse nationale. Mais les deux fois, il ne fut pas question de savoir s'il fallait ou non vendre l'or mais à quoi le produit devait servir, au «fonds de solidarité» ou à l'AVS. Le peuple a dit «non» les deux fois. On ne lui a jamais demandé s'il estimait judicieux de vendre ces réserves d'or amassées en période de prospérité en vue de difficultés futures.

Aujourd'hui, l'histoire a donné une ré­ponse. Avec la quasi-faillite d'UBS, une situation de catastrophe est survenue de ma­nière tout à fait inattendue. La BNS a dû utiliser une grande partie de ses réserves pour sauver la banque. Hildebrand a déclaré lui-même que la faillite d'une des deux grandes banques dépasserait les possibilités financières d'un petit État. Les réserves d'or stratégiques sont là pour les catastrophes. Aujourd'hui s'ajoutent les risques dus aux achats massifs d'euros. Les spécialistes de la Bourse parlent de «gros risque».

Or on peut objecter à juste titre qu'en comparaison des autres pays, la BNS, avec ses 1040 tonnes d'or, possède encore des réserves importantes. Et c'est vrai. En outre, au cours des dernières années, la BNS a obtenu de bonnes notes pour sa politique. Cependant la Suisse a une économie restreinte et ouverte et l'on n'a pas besoin d'être pessimiste pour reconnaître que, d'une manière générale, les risques ont augmenté. L'or constitue une assurance en cas de catastrophe économique, une mesure de précaution pour parer à une crise. Les générations passées s'en sont rendu compte.

Une politique qui se fait dans le dos du peuple est nuisible

Il ne s'agit pas ici de calculer quel montant de notre argent les responsables ont «perdu» avec leur mauvaise décision de vendre une grande partie des réserves d'or. Le prix de l'or a presque triplé en francs suisses depuis le début des ventes. Il s'agit plutôt de pointer le fait que les responsables ont pris leur décision sans en référer au peuple. Cette question s'impose d'autant plus qu'après la Se­conde Guerre mondiale, la décision d'accumuler d'importantes réserves stratégiques d'or avait été prise d'une manière parfaitement démocratique, c'est-à-dire en consultant la population. Les événements de l'époque sont exemplaires, si bien que nous les rappellerons ici brièvement. Nous montrerons également pourquoi la Suisse, petit pays, a conservé des réserves d'or si importantes et pourquoi elle passe pour un «havre de sécurité» pour l'argent étranger.

Bretton Woods

En 1944, à Bretton Woods (Etats-Unis), un accord monétaire a été conclu qui était fondé sur l'«étalon dollar-or». Pendant presque 30 ans, il détermina la vie économique et les transactions financières mondiales. Il reposait sur des taux de change fixes qui ne pouvaient être modifiés qu'à l'aide d'une procédure compliquée. Le dollar était la monnaie de réserve. La Banque centrale américaine, la FED, avait une mission essentielle dans la mesure où les différentes banques centrales pouvaient utiliser des dollars comme monnaies de réserve sans devoir posséder de réserves d'or propres. La FED leur offrait la possibilité d'échanger en tout temps leurs dollars contre de l'or.

La Suisse dut prendre une décision: devait-elle se fier au dollar comme monnaie de réserve ou constituer d'importantes réserves d'or afin de rendre le pays moins dépendant des Etats-Unis?

Le Conseil fédéral, le Parlement et la BNS rédigèrent un article sur la monnaie destiné à la Constitution, qui laissait jusque-là la question ouverte.

Le nouvel article 39-6 prévoyait que la Confédération déterminait le type et le vo­lume de la couverture de la monnaie. Comme le prévoyait la Constitution, il devait être soumis au peuple. Ce projet était incontestable pour l'élite politique qui pensait qu'il s'agissait d'une pure formalité. Or la réponse fut une surprise: un «non» clair et net. 61,5% des citoyens et 20 cantons et demi sur 22 rejetèrent le projet. Une large majorité s'opposait à ce que la Confédération laisse ouverts dans la Constitution le type et le volume de la couverture de la monnaie. Elle voulait inscrire la couverture-or dans la Constitution.

Large débat de fond

Un large débat de fond s'est alors instauré, non pas entre experts mais avec la population. Il ne s'agissait plus seulement de l'or, mais de la monnaie et du système monétaire en général.

La BNS, le Conseil fédéral et le Parlement élaborèrent un nouvel article tenant compte du souhait de la population de voir figurer l'or dans la Constitution. Au centre du projet, il y avait l'alinéa 7 qui stipulait que «les billets de banque émis doivent être couverts par de l'or et des avoirs à court terme».

Au Conseil national, le rapporteur de la commission expliqua le principe de la couverture-or de la manière suivante: «Le possesseur de billets de banque doit avoir la certitude qu'il existe une certaine contre-valeur en or. […] Certes, jusqu'à nouvel avis, les billets ne sont plus convertibles en or, mais la confiance de larges couches de la population dans la monnaie est associée à la couverture-or. Et c'est en particulier par rapport à cette couverture que l'on juge le plus souvent la monnaie. […] Si dans un pays, il existe à ce sujet des prescriptions sur une couverture-or minimale, il me semble que cela garantit qu'une réserve d'or correspondante a été accumulée et conservée.»

Pour d'autres parlementaires, l'or conservé dans des coffres avait perdu son ancienne importance et n'était plus d'actualité. D'autres encore rappelèrent le fait que quelques années auparavant, pendant la guerre, c'est avec de l'or que l'on put acheter les matières premières et les produits alimentaires nécessaires à la survie du pays. L'or continuait d'être tout à fait justifié en des temps de difficultés monétaires. Et cela était d'autant plus valable pour un pays qui ne possédait pas de matières premières. Le conseiller aux Etats thurgovien Stähli renchérit en déclarant: «Les conditions d'une monnaie solide ne sont pas seulement une couver­ture-or décrétée mais en particulier une économie saine, des fondements juridiques clairs et avant tout la ferme volonté de travailler du peuple.»

«La monnaie est un bien précieux»

A la question de savoir ce qu'on pensait faire si les Etats-Unis favorisaient l'inflation et dévaluaient leur monnaie, le conseiller fédéral Nobs, qui défendait l'idée d'importantes réserves d'or, a déclaré ceci: «La réponse est claire: Nous conservons notre totale liberté de manœuvre. Nous ne dépendons d'aucun automatisme. […] Nous sommes tout à fait libres d'évaluer les conséquences écono­miques pour notre pays et ensuite de prendre les mesures monétaires adéquates en fonction des intérêts supérieurs du pays. La monnaie est un bien précieux, il faut en prendre soin, mais ce n'est pas une idole, pas plus que l'or.»

Opposition

La nouvelle proposition d'article constitutionnel ne fut pas approuvée partout. Le parti libéral-socialiste, issu du mouvement franchiste, s'opposait à la couverture-or pour des questions de principe. Pour lui, le contrôle de la masse monétaire était plus important. Il lança l'«initiative pour la monnaie franche» et recueillit en peu de temps quelque 90 000 signatures (il en fallait 50 000 à l'époque). L'article 39 de la Constitution fédérale devait être modifié de la façon suivante: «La banque investie du monopole des billets de banque a pour tâche principale de régler la circulation de la monnaie en Suisse de telle façon que le pouvoir d'achat du franc suisse reste constant, autrement dit que l'indice des prix des marchandises de première nécessité reste constant, afin de garantir le plein-emploi des travailleurs.» La BNS devait main­tenir la stabilité du franc en contrôlant la masse monétaire à cet effet. Une augmentation de la masse monétaire devait mettre à la disposition de l'économie en expansion les moyens permettant d'endiguer la flambée des prix. L'objectif était d'atteindre un équilibre grâce au plein emploi.

Le franchiste Werner Schmid, au Conseil national, et le professeur Hans Bernouilli, au Conseil des Etats, défendirent leur initiative avec un courage et une sincérité remarquables face à une armée d'adversaires. Ils firent face également à des polémiques à propos de la «monnaie franche» ou «monnaie fon­dante» et de Silvio Gesell dont les idées avaient inspiré le mouvement franchiste. Ajoutons que dans l'initiative, il n'était pas question de «monnaie fondante» mais uniquement de l'idée d'arriver à la stabilité des prix au moyen du contrôle de la masse monétaire.

Résultat du débat

Quelle fut la décision du peuple? La votation eut lieu le 15 avril 1951. L'initiative fut rejetée par 87,9% des votants et tous les cantons. 71% des votants et tous les cantons approu­vèrent le nouvel article qui inscrivait le principe de la couverture-or dans la Constitution.

Dans les années qui suivirent la votation, la BNS fit passer les réserves d'or de 800 tonnes (quantité d'après la Seconde Guerre mon­diale) à 2600 (source: Rapports mensuels de la BNS). L'or fut financé par les excédents de la balance des paiements réalisés pendant cette période. Cela représentait des centaines de millions d'heures de travail de la population. Après 1964, les réserves d'or ne furent pratiquement plus modifiées jusqu'à nos jours.

Fin de Bretton Woods

En 1971, le président Richard Nixon ferma la «fenêtre de l'or». Les Etats-Unis ces­sèrent de couvrir avec de l'or les dollars qui furent imprimés en trop grande quantité pour financer la guerre du Vietnam. Cela entraîna l'effondrement du système monétaire de Bretton Woods. C'est alors que le dollar, qui n'était plus lié à rien, entama sa chute. Si à l'époque, il fallait payer 4 francs 37 pour un dollar, aujourd'hui, comme nous l'avons dit, le dollar et le franc suisse sont à peu près à égalité. La dépréciation du dollar a également retenti sur le prix de l'or. Alors que l'once valait alors 35 dollars, elle en vaut aujourd'hui 1200.

Les promoteurs de l'initiative pour la monnaie franche ont éprouvé une satisfaction tardive. La BNS fut l'une des premières banques centrales qui, en 1973, dans le système monétaire post-Bretton Woods, se fixa un objectif de masse monétaire pour garantir la stabilité des prix (exactement comme le demandait l'initiative).

On ne toucha pas aux importantes réserves d'or stratégiques de 2600 tonnes déposées dans les coffres de la BNS. Elles y restèrent, évaluées à leur valeur historique de 4500 francs le kilo, en tant que garant de confiance et de mesure de précaution en prévision d'une crise (assurance catastrophe). Mais en 1997, les choses changèrent lorsque le président de la Confédération, Arnold Koller, en accord avec le président de la BNS, fit savoir au peuple que la moitié de ces réserves était superflue, qu'elle pouvait être vendue et que le produit de la vente pouvait être utilisé à d'autres fins. Il omit toutefois de demander aux citoyens s'ils étaient d'accord.

Comment Arnold Koller en est-il venu à agir ainsi? Qui lui avait suggéré cette idée?

Conférence de Zurich sur le système monétaire international

Les faiblesses du système monétaire actuel sont bien connues. Depuis 1971, les dettes atteignent des sommets dans presque tous les pays. On crée de l'argent trop facilement. On fait trop facilement des dettes. A cela s'a­joute le fait que la spéculation déstabilise le système dans des proportions sans précédent jusqu'ici. Les citoyens se préparent à l'idée que non seulement les banques mais les Etats pourraient s'effondrer. Il est urgent de faire des réformes pour éviter une catastrophe générale. Il ne s'agit pas seulement d'une réglementation visant les banques. Il est temps de repenser le système monétaire.

Le système monétaire actuel, qui a commencé en 1971 à la fin de Bretton Woods, constitue la plus importante expérience monétaire de l'histoire. Personne ne sait ce qui va en résulter.

Le 11 mai, la BNS et le FMI ont convoqué à Zurich une «conférence au sommet» sur le thème du «système monétaire international». Elle a été assortie d'une conférence de presse du président de la BNS Philipp Hildebrand et du président du FMI Dominique Strauss-Kahn.

Or le débat ne doit pas être uniquement l'affaire des experts; il doit impliquer la population. C'est à mon avis la leçon à tirer du débat ouvert qui eut lieu en Suisse en 1951 à propos de la monnaie et du système monétaire. Horizons et débats y contribuera par d'autres articles.

Horizons et Débats n°19, 17 mai 2010

Notes

1. Voir Horizons et Débats n°18

Horizons et débats est un hebdomadaire publié en allemand et en français. Une sélection bimensuelle est disponible en anglais.
Pour une lecture plus confortable qu'à l'écran, abonnez-vous à la version papier d'Horizons et débats. Tarifs 2010 :
- 6 mois : 105 FS ou 58 €
- 1 an : 198 FS ou 108 €
Horizons et débats, Case postale 729, CH-8044 Zurich. CCP 87-7484485-6

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Horizons et débats, Case postale 729, CH-8044 Zurich. CCP 87-7484485-6


 
    "François de Siebenthal" <siebenthal@gmail.com> May 20 05:33PM +0200 ^
     
    *Monsieur le Député,
     
    vous voudrez bien trouver, ainsi que vous me l'avez demandé, les références
    et le libellé exacts de la citation prophétique de la page 234 du très
    célèbre ouvrage en savoir plus...

Recueillir les déversements d'hydrocarbures dans le golfe du Mexique ?

Lettre à Monsieur le Président Barack Hussein Obama et au chef de la direction de BP


Un groupe suisse dispose de la technologie et du savoir-faire pour recueillir
les déversements d'hydrocarbures dans le golfe du Mexique, les arrêtez et récupérer l'utilisation  des puits.

Nous l'avons fait au Koweït et nous avons de nouveaux brevets secrets pour ce travail très spécial, secret, parce qu'ils nous ont volés tous nos brevets antérieurs.

http://v3.espacenet.com/publicationDetails/biblio?CC=WO&NR=9219323&KC=&FT=E
http://v3.espacenet.com/publicationDetails/biblio?CC=WO&NR=9218746&KC=&FT=E


Nos brevets antérieurs ( voir ci-dessous ) ont été enregistrés en avril et mai 1991 auprès de l'INPI à Paris. L'extension internationale a été affectée dans le délai, à l'OMPI (Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle - Organisation mondiale de la propriété intellectuelle) ainsi que le prouve les documents suivants montrant les systèmes d'extinction et de blocage des puits de pétrole en feu enregistrées au nom de Joseph FERRAYE .

Les rapports de la recherche internationale en priorité intellectuelle ont établi par l'OEB (Office européen des brevets) qui a prouvé que les deux systèmes ont été incontestablement de nouvelles inventions utilisées de manière illicite par les voleurs de brevets.

Cela a été confirmé par les experts pétroliers, notamment M.  Géraud VITRAC le 23.03.1997 !

Vous pouvez nous contacter à Lausanne.


De Siebenthal & Cie

François de Siebenthal.

1010 Lausanne

0041 21 616 88 88

Fax 0041 21 616 88 81

http://suisse-plus.com

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siebenthal@gmail.com

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Skype: Siebenthal

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UN SYSTEME pour éteindre un puits de pétrole SOUMISES A très haute pression


Les données bibliographiques

Description

Prétentions

Mosaïque

Le document original

Situation juridique INPADOC

Numéro de publication: WO9219323 (A1)
Date de parution: 12/11/1992
Inventeur (s): JOSEPH FERRAYE [FR] + (FERRAYE, Joseph)
Demandeur (s): JOSEPH FERRAYE [FR] + (FERRAYE, Joseph)
Classification:
- International: A62C3/06; A62C99/00; E21B35/00; A62C3/00; A62C99/00; E21B35/00; (IPC1-7): A62C3/06; E21B35/00
- Européenne: A62C3/06 ; A62C39/00B2 ; E21B35/00
Numéro de dépôt: WO1992FR00405 19920504
La priorité numéro (s): FR19910005662 19910502; FR19910012648 19911009


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Également publié en tant que:

NO933967 (A)

EP0603181 (A1)

CA2112705 (A1)

AU1777392 (A)

Documents cités:

US1520288 (A)

US3885629 (A)

US1857788 (A)

FR1219418 (A)

US1498453 (A)

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Résumé de WO 9219323 (A1)
Traduire ce texte
L'invention décrit un système pour éteindre les incendies des puits de pétrole soumis à des pressions très élevées, et le refroidissement du sol environnant. La base du système est, par exemple, la forme conique de ressemblant à un volcan. Les flammes sont étouffées par l'introduction d'un gaz non inflammable (par exemple azote liquide ou dioxyde de carbone) ou de l'eau dans le système à travers les trous (4a, 4b) dans la section conique. La propagation turbulente de ce gaz, réalisé à l'aide de connecteurs à angle dans le système, se trouve dans la même direction que les flammes et est intensifiée dans une direction vers le haut par la forme conique du système. La sortie par l'intermédiaire du cratère (1) est une forme d'éruption englobant toutes les flammes, et de l'azote est dirigée vers le bas pour refroidir le sol environnant.
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BLOCAGE DE ROBOT pour puits de pétrole HAUTE PRESSION


Les données bibliographiques

Description

Prétentions

Mosaïque

Le document original

Situation juridique INPADOC

Numéro de publication: WO9218746 (A1)
Date de parution: 29/10/1992
Inventeur (s): JOSEPH FERRAYE [FR] + (FERRAYE, Joseph)
Demandeur (s): JOSEPH FERRAYE [FR] + (FERRAYE, Joseph)
Classification:
- International: E21B33/02; E21B33/02; (IPC1-7): E21B33/02
- Européenne: E21B33/02
Numéro de dépôt: WO1992FR00323 19920410
La priorité numéro (s): FR19910004607 19910411; FR19910004905 19910416; FR19910011959 19910923; FR19910013650 19911030; FR19910012943 19911015


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Également publié en tant que:

NO933629 (A)

EP0593503 (A1)

CA2103361 (A1)

AU1777492 (A)

Documents cités:

DE9106322U (U1)

US1822140 (A)

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Résumé de WO 9218746 (A1)
http://v3.espacenet.com/publicationDetails/biblio?CC=WO&NR=9218746&KC=&FT=E
Traduire ce texte
Un robot à la fermeture et le blocage des tuyaux qui sont soumis à des pressions très élevées. Le robot comporte un dispositif de contre-pression en dessous de la partie principale de blocage pour agissant simultanément sur la paroi intérieure, en profondeur dans le tuyau, par la dilatation causée par un seul mouvement linéaire d'un arbre conique dans un cylindre y ayant alésage conique; ledit arbre ayant un diamètre qui est 50% plus grande que la différence entre les diamètres cône intérieur des deux extrémités du cylindre, qui cylindre comporte une fente sur toute la longueur de celle-ci et est contrôlée par des vérins hydrauliques, un tuyau central permettant l'écoulement de pétrole et de la normalisation de la pression à la hausse au cours du processus d'insertion, et deux pantographes pour le centrage du système dans le puits en dépit de la très haute pression. La haute pression dans le permet ainsi d'assurer le blocage du système.
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Les données sont fournies par la base de données esp @ cenet - Worldwide
http://v3.espacenet.com/publicationDetails/biblio?CC=WO&NR=9218746&KC=&FT=E









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Envoyé par François de Siebenthal DANS François de Siebenthal le 25/05/2010 12:27:00